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{{tiret2|scien|tifiques}}, qui se heurtent et s’entre-tuent. Sans doute, l’humanité progresse, mais, à la vue de ces effroyables conflits, on se prend quelquefois à douter ! |
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ces effroyables conflits, on se prend quelquefois à douter ! |
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Combien, semble-t-il alors, combien sont |
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Combien, semble-t-il alors, combien sont heureuses les populations retirées dans les vallées hautes qui n’ont jamais eu à souffrir de la guerre, ou qui, du moins, en dépit du flux et du reflux des armées en marche, ont fini par sauvegarder leur indépendance première ! Maints peuples de montagnards, protégés par leurs énormes massifs de montagnes reliés les uns aux autres, ont eu ce bonheur de rester libres. Ils le savent ; ce n’est point seulement à l’héroïsme de leurs cœurs, à la force de leurs bras, à l’union de leurs volontés, qu’ils doivent de n’avoir point été asservis par de puissants voisins. C’est aussi à leurs grandes Alpes qu’il leur faut rendre grâces ; ce sont là les fermes colonnes qui ont défendu l’entrée de leur temple. |
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heureuses les populations retirées dans les vallées |
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Ils le savent ; ce n’est point seulement |
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