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À ses « gens », il donnait une année de gages. À son cousin de
À ses « gens », il donnait une année de gages. À son cousin de
la Motte, ses rentes sur le « sel nouveau » ; au fils aîné de ce
la Motte, ses rentes sur le « sel nouveau » ; au fils aîné de ce
dernier, ses rentes sur le « sel vieux », et au cadet 2,000 livres « pour
dernier, ses rentes sur le « sel vieux », et au cadet {{formatnum:2,000}} livres « pour
luy aider à avoir une charge ».
luy aider à avoir une charge ».


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il y joignit tous les meubles qu’il avait achetés pour 703 livres à la
il y joignit tous les meubles qu’il avait achetés pour 703 livres à la
succession de l’évêque de Babylone. L’établissement le plus
succession de l’évêque de Babylone. L’établissement le plus
favorisé était l’Hôpital Général, qui bénéficiait de 10,000 livres pour la
favorisé était l’Hôpital Général, qui bénéficiait de {{formatnum:10,000}} livres pour la
construction de la chapelle alors en cours d’exécution, 2,500 livres
construction de la chapelle alors en cours d’exécution, {{formatnum:2,500}} livres
pour les besoins de l’infirmerie et 2,500 livres pour la maison de
pour les besoins de l’infirmerie et {{formatnum:2,500}} livres pour la maison de
Refuge (Sainte-Pélagie) ; M. Pajot de la Chapelle<ref>Pajot, l’un des premiers administrateurs de l’Hôpital Général, était
Refuge (Sainte-Pélagie) ; {{M.|Pajot}} de la Chapelle<ref>Pajot, l’un des premiers administrateurs de l’Hôpital Général, était
membre de la Compagnie du Saint-Sacrement depuis 1656. Il se retira au
membre de la Compagnie du Saint-Sacrement depuis 1656. Il se retira au séminaire des Missions étrangères.</ref>, l’un des directeurs, recevait tous ses papiers concernant l’Hôpital Général et
séminaire des Missions étrangères.</ref>, l’un des directeurs, recevait tous ses papiers concernant l’Hôpital Général et
autres hôpitaux de France, pour être remis « au tresor de l’Hospital
autres hôpitaux de France, pour être remis « au tresor de l’Hospital
général », à la Pitié, où se trouvait en effet le « bureau » et les
général », à la Pitié, où se trouvait en effet le « bureau » et les archives.
archives.


À son cousin Philippe Aubery<ref>Sa bibliothèque fut remise au séminaire des Missions par Catherine, Marguerite et Charlotte Aubery, « filles majeures et jouissantes de leurs droits, héritières bénéficiaires de défunt Philippe Aubery, advocat » (arch. des Missions étrangères, vol. II, p. 89, cité par A. Launay, ''Documents historiques relatifs à la Société des Missions étrangères'', 1904).</ref>, son exécuteur testamentaire, était
À son cousin Philippe Aubery<ref>Sa bibliothèque fut remise au séminaire des Missions par Catherine, Marguerite et Charlotte Aubery, « filles majeures et jouissantes de leurs droits, héritières bénéficiaires de défunt Philippe Aubery, advocat » (arch.{{lié}}des Missions étrangères, vol. {{rom-maj|II}}, p. 89, cité par A. Launay, ''Documents historiques relatifs à la Société des Missions étrangères'', 1904).</ref>, son exécuteur testamentaire, était
destiné le reste de ses biens, y compris la baronnie de Montbard.
destiné le reste de ses biens, y compris la baronnie de Montbard.
Aubery devait recevoir également, à la mort d’Henri Chahu, lors du
Aubery devait recevoir également, à la mort d’Henri Chahu, lors du
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Cette succession fut pour Aubery la source de tribulations de
Cette succession fut pour Aubery la source de tribulations de
toutes sortes<ref>Bibl. nat., ms. fr. 515, 516, 517.</ref>. En 1675, Cl. Vialet, fermier général des domaines,
toutes sortes<ref>Bibl.{{lié}}nat., ms.{{lié}}fr. 515, 516, 517.</ref>. En 1675, Cl. Vialet, fermier général des domaines,
fit saisir, sur l’ordre de Boucher, intendant de Bourgogne, les
fit saisir, sur l’ordre de Boucher, intendant de Bourgogne, les