« Page:Fosseyeux - Contribution à l'étude de la Compagnie du Saint-Sacrement au XVIIe siècle, 1923.pdf/4 » : différence entre les versions

→‎Page non corrigée : Page créée avec « était le fondateur, 50 livres de rente, sans compter 300 livres pour la réparation de leur maison, 150 livres pour acheter des ornements d’église ; à l’hôpital Sainte-Reine, 150 livres. À ses « gens », il donnait une année de gages. À son cousin de la Motte, ses rentes sur le « sel nouveau » ; au fils aîné de ce dernier, ses rentes sur le « sel vieux », et au cadet 2, 000 livres « pour luy aider à avoir une charge ». À Paris, il réserva... »
Balise : Non corrigée
 
Balise : Corrigée
État de la page (Qualité des pages)État de la page (Qualité des pages)
-
Page non corrigée
+
Page corrigée
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 4 : Ligne 4 :


À ses « gens », il donnait une année de gages. À son cousin de
À ses « gens », il donnait une année de gages. À son cousin de
la Motte, ses rentes sur le « sel nouveau » ; au fils aîné de ce dernier, ses rentes sur le « sel vieux », et au cadet 2, 000 livres « pour
la Motte, ses rentes sur le « sel nouveau » ; au fils aîné de ce
dernier, ses rentes sur le « sel vieux », et au cadet 2,000 livres « pour
luy aider à avoir une charge ».
luy aider à avoir une charge ».


À Paris, il réservait ses générosités pour les Bernardines
À Paris, il réservait ses générosités pour les Bernardines
(300 livres), les Carmes (300 livres), la cure de Saint-Nicolas-du-
(300 livres), les Carmes (300 livres), la cure de Saint-Nicolas-du-Chardonnet
Chardonnet (300 livres), les Nouveaux-Convertis et Nouvelles-Catholiques du faubourg Saint-Victor et de la rue de Richelieu
(300 livres), les Nouveaux-Convertis et Nouvelles-Catholiques
du faubourg Saint-Victor et de la rue de Richelieu
(150 livres chacun), aux Bénédictins anglais du faubourg Saint-Jacques (150 livres), à la Mission de Saint-Lazare (300 livres pour
(150 livres chacun), aux Bénédictins anglais du faubourg
Saint-Jacques (150 livres), à la Mission de Saint-Lazare (300 livres pour
les bâtiments et 300 livres pour le rachat des captifs), 200 livres
les bâtiments et 300 livres pour le rachat des captifs), 200 livres
enfin pour la délivrance des prisonniers et 400 livres pour aider à
enfin pour la délivrance des prisonniers et 400 livres pour aider à
la dot de quelque fille ayant la vocation religieuse. Quant au séminaire des Missions, nous avons vu qu’il héritait de sa bibliothèque ;
la dot de quelque fille ayant la vocation religieuse. Quant au
séminaire des Missions, nous avons vu qu’il héritait de sa bibliothèque ;
il y joignit tous les meubles qu’il avait achetés pour 703 livres à la
il y joignit tous les meubles qu’il avait achetés pour 703 livres à la
succession de l’évêque de Babylone. L’établissement le plus favorisé était l’Hôpital Général, qui bénéficiait de 10, 000 livres pour la
succession de l’évêque de Babylone. L’établissement le plus
favorisé était l’Hôpital Général, qui bénéficiait de 10,000 livres pour la
construction de la chapelle alors en cours d’exécution, 2, 500 livres
construction de la chapelle alors en cours d’exécution, 2,500 livres
pour les besoins de l’infirmerie et 2, 500 livres pour la maison de
pour les besoins de l’infirmerie et 2,500 livres pour la maison de
Refuge (Sainte-Pélagie) ; M. Pajot de la Chapelle<ref>Pajot, l’un des premiers administrateurs de l’Hôpital Général, était
Refuge (Sainte-Pélagie) ; M. Pajot de la Chapelle<ref>Pajot, l’un des premiers administrateurs de l’Hôpital Général, était
membre de la Compagnie du Saint-Sacrement depuis 1656. Il se retira au
membre de la Compagnie du Saint-Sacrement depuis 1656. Il se retira au
séminaire des Missions étrangères.</ref>, l’un des directeurs, recevait tous ses papiers concernant l’Hôpital Général et
séminaire des Missions étrangères.</ref>, l’un des directeurs, recevait tous ses papiers concernant l’Hôpital Général et
autres hôpitaux de France, pour être remis « au trésor de l’Hospital
autres hôpitaux de France, pour être remis « au tresor de l’Hospital
général », à la Pitié, où se trouvait en effet le « bureau » et les
général », à la Pitié, où se trouvait en effet le « bureau » et les
archives.
archives.
Ligne 32 : Ligne 37 :


Cette succession fut pour Aubery la source de tribulations de
Cette succession fut pour Aubery la source de tribulations de
toutes sortes<ref>Bibl. nat., ms. fr. 515, 516, 517.</ref>. En 1675, CI. Vialet, fermier général des domaines, fit saisir, sur l’ordre de Boucher, intendant de Bourgogne, les
toutes sortes<ref>Bibl. nat., ms. fr. 515, 516, 517.</ref>. En 1675, Cl. Vialet, fermier général des domaines,
fit saisir, sur l’ordre de Boucher, intendant de Bourgogne, les
3,