« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Peinture » : différence entre les versions

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| width=33% style="background: #ffe4b5" | <center>< [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 7, Pavage|Pavage]]</center>
| width=33% style="background: #ffe4b5" | <center>[[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index alphabétique - P|Index alphabétique - P]]</center>
| width=33% style="background: #ffe4b5" | <center>[[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 7, Pendentif|Pendentif]] ></center>
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| width=33% style="background: #ffe4b5" | <center>[[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index Tome 7|Index par tome]]</center>
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article, sur la peinture des sujets dans les édifices. D'ailleurs nous avons
l'occasion de revenir sur quelques points touchant la peinture, dans les
articles [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 8, Style|Style]] et [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 9, Vitrail |Vitrail ]]. Nous passerons maintenant à la peinture d'ornement,
à la décoration peinte proprement dite. Il y a lieu de croire que
sur cette partie importante de l'art, les artistes du moyen âge n'avaient
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Cependant on fabriquait alors une quantité de vitraux qui acquéraient
d'autant plus de richesse comme couleur que les fenêtres devenaient
plus grandes (voy. [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 9, Vitrail |Vitrail ]]). Si avec des fenêtres d'une petite dimension,
garnies de vitraux blancs ou très-clairs, sous une lumière diffuse et
peu étendue, il était naturel et nécessaire même de donner à la peinture
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en marge et empêcher la bavure des tons translucides sur l'architecture,
le long de ce filet blanc transparent on peignait le solin en vermillon,
afin de mieux faire ressortir l'éclat de la ligne lumineuse (voy. [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 9, Vitrail |Vitrail ]]).
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[[Image:Peinture.ebrasement.fenetre.XIIIe.siecle.png|center]]
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de Meaux, par exemple, on a eu l'idée de distinguer les claveaux des
arcs ogives ou des arcs-doubleaux au moyen de deux tons différents.
Ce sont là des exceptions. À l'article [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 8, Sculpture |Statuaire ]], nous parlerons du mode
de coloration des imageries et des statues, car les artistes du moyen âge
ont le plus souvent admis, comme les Grecs de l'antiquité, que la statuaire devait être colorée. Quant à la sculpture d'ornement des intérieurs,
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doubler souvent un large trait brun rouge. Les combles étaient brillants
de couleurs, soit par la combinaison de tuiles vernissées, soit par des
peintures et dorures appliquées sur les plombs (voy. [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 7, Plomberie |Plomberie ]]). Quelquefois
même des plaques de verre posées dans des fonds sur un mastic,
avec interposition d'une feuille d'étain ou d'or, ajoutaient des touches
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<span id="footnote27">[[#note27|27]] : Traces d'une arcature peinte, abbaye de Fontfroide.
 
<span id="footnote28">[[#note28|28]] : Voyez à l'article [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 4, Construction|Construction]] la figure 111,
qui donne une coupe de l'entrée de ce
chœur.