« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Barre, Barrière » : différence entre les versions

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| width=33% style="background: #ffe4b5" | <center>[[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 2, Bart|Bart]] ></center>
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| width=33% style="background: #ffe4b5" | <center>[[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index Tome 2|Index par tome]]</center>
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rôle dans l'art de la fortification. Les parties ouvrantes de ces barrières
se composaient ou de vantaux à claire-voie, roulant sur des gonds; ou de
tabliers à bascule (voy. [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 1, Architecture militaire|Architecture Militaire]], fig. 30); ou de simples
barres de bois qui se tiraient horizontalement, comme nos barrières de
forêts, se relevaient au moyen d'un contre-poids (1), et s'abaissaient en
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Il n'est pas besoin de dire qu'autour des camps on établissait des
barrières (voy. [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 6, Lice|Lice]], [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 3, Clôture|Clôture]])<span id="note4"></span>[[#footnote4|<sup>4</sup>]]. Dans les tournois, il y avait aussi le
combat à la barrière. Une barrière de cinq pieds environ séparait la lice en
deux. Les jouteurs, placés à ses extrémités, à droite et à gauche, lançaient