« Orgueil et Prévention (1822, ré-édition 1966)/53 » : différence entre les versions

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{{t3|chapitre 53}}
 
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La perte de sa fille rendit Mme Bennet triste pendant
plusieurs jours.
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« Je pense souvent, disait-elle, qu’il n’y a rien d’aussi
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de ce retour. Bien des mois s’étaient écoulés, depuis que le
nom du propriétaire de Netherfield n’avait été prononcé
 
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par elle ; mais, maintenant, dès qu’elle fut seule avec Élisabeth,
elle lui dit :
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importent même, que tous les voisins donnassent à M. Bingley
dès son retour une semblable marque d’attention.
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« C’est une étiquette que je méprise, répondit M. Bennet ;
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Ses filles furent aussitôt appelées à partager sa joie ;
Hélen resta à sa place, mais Élisabeth pour contenter sa
 
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mère s’approcha de la fenêtre ; elle regarda, elle vit M. Darcy
avec lui, et se rassit sur-le-champ près de sa sœur.
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en remarquant pour la première fois le changement de son
ton et de ses manières.
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L’éclat de son teint, qu’avait terni le premier moment
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Darcy, après avoir demandé des nouvelles de M. et
 
==[[Page:Austen - Orgueil et préjugé, 1966.djvu/342]]==
Mme Gardener, question à laquelle Élisabeth ne put répondre
sans rougir, ne parla presque plus. Il ne se trouvait pas,
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— Je le sais, mais l’article était mal rédigé, il n’y
 
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avait que ces mots : Dernièrement Georges Wickham Ew.
et miss Lydia Bennet, sans même mentionner son père ou le
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« Mon désir le plus sincère, se dit-elle, est de ne les
jamais revoir : j’achète trop chèrement le faible plaisir que
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m’offre leur société ; puissé-je leur parler aujourd’hui à l’un
et à l’autre pour la dernière fois. »
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[[en:Pride and Prejudice/Chapter_53]]
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