« Orgueil et Prévention (1822, ré-édition 1966)/15 » : différence entre les versions
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générosité rare.
La vue de ses cousines ne changea rien à ses résolutions,
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mais la jolie figure de Mlle Bennet fixa entièrement
ses idées sur le droit de primogéniture. Le premier soir son
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Fades compliments de son côté, réponses polies de la
part des demoiselles formèrent toute leur conversation
jusqu’à Meryton. Là cessa le peu d’attention que lui prêtaient
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les deux plus jeunes ; uniquement occupées des officiers,
leurs yeux les cherchaient avec impatience : une
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demoiselles jusqu’à la porte de Mme Philips, et là firent
leur révérence. Lydia les pria d’entrer, et sa tante, ouvrant
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la fenêtre du parloir, secondait à haute voix cette invitation,
mais le tout inutilement.
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aussi délicieux répandit la joie ; on se sépara en se disant :
« À demain. » M. Colins, au moment du départ, voulut
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renouveler ses excuses. Mais on lui protesta, avec une politesse
égale, qu’elles n’étaient nullement nécessaires.
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[[en:Pride and Prejudice/Chapter_15]]
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=== no match === Bennet/15|Autre traduction}} </noinclude>
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