« Page:Verne - De la Terre à la lune.djvu/60 » : différence entre les versions

ThomasBot (discussion | contributions)
m Andre315 : split
(Aucune différence)

Version du 12 octobre 2009 à 08:16

Cette page n’a pas encore été corrigée

audacieux collègues, auxquels rien ne semblait impossible, venaient de résoudre la question si complexe du projectile, du canon et des poudres. Leur plan étant fait, il n’y avait qu’à l’exécuter.

« Un simple détail, une bagatelle », disait J.-T. Maston.[1]

  1. NOTA — Dans cette discussion le président Barbicane revendique pour l’un de ses compatriotes l’invention du collodion. C’est une erreur, n’en déplaise au brave J.-T. Maston, et elle vient de la similitude de deux noms. En 1847, Maynard, étudiant en médecine à Boston, a bien eu l’idée d’employer le collodion au traitement des plaies, mais le collodion était connu en 1846. C’est à un Français, un esprit très distingué, un savant tout à la fois peintre, poète, philosophe, helléniste et chimiste, M. Louis Ménard, que revient l’honneur de cette grande découverte. — J. V.