« Page:Balzac - Œuvres complètes Tome 5 (1855).djvu/413 » : différence entre les versions

Rabot (discussion | contributions)
import du texte
 
État de la page (Qualité des pages)État de la page (Qualité des pages)
-
Page non corrigée
+
Page corrigée
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
<br />


Adèle apporta l’un de ses serre-tête en apportant la bassinoire, et Pierrette, qui jusqu’alors avait couché dans des draps de grosse toile bretonne, fut surprise de la finesse et de la douceur des draps de coton. Quand la petite fut installée et couchée, Adèle, en descendant, ne put s’empêcher de s’écrier : — Son butin ne vaut pas trois francs, mademoiselle.
Adèle apporta l’un de ses serre-tête en apportant la bassinoire, et Pierrette, qui jusqu’alors avait couché dans des draps de grosse toile bretonne, fut surprise de la finesse et de la douceur des draps de coton. Quand la petite fut installée et couchée, Adèle, en descendant, ne put s’empêcher de s’écrier : — Son butin ne vaut pas trois francs, mademoiselle.