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{{nr||DE GUSTAVE FLAUBERT.|329}}

<section begin="s1"/>vite encore ? Il faut la porter toujours au delà de nous-mêmes. Et quand je traite les femmes de haut, tu protestes en ton cœur contre cette insolence. Il te semble que c’est injuste. À coup sûr, si je t’y comptais ! Allons donc !

Adieu, bon courage ! travaille bien ! J’ai épuisé toute ma provision de papier à lettres. De Pont-l’évêque sans doute je t’écrirai un petit mot jeudi. Mille baisers sur le cœur. À toi.

{{d|Ton G.|4}}

D’ici à Mantes, je reverrai le plan de l’''Acropole''. Penses-y de ton côté. Nous l’arrêterons là.

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{{c|423. À LOUISE COLET.|fs=90%|lh=3}}<noinclude>

{{taille|''En partie inédite.''|85}}</noinclude>

{{d|[Croisset] Vendredi soir, 2 septembre, 9 heures.|2|fs=85%}}

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Nous voilà revenus un jour plus tôt. Comme il n’y avait point de vapeur du Havre pour Rouen le 3, nous avons cette nuit couché à Honfleur. Dès 6 heures il a fallu se lever et à midi et demi nous étions rentrés.

Ce n’est pas sans un certain plaisir que je me retrouve à ma table, quoique j’aie été fort triste à Trouville, la veille de mon départ. Il me semblait (et à raison, je crois) que j’y avais été médiocre, que je n’avais pas assez reniflé, aspiré, regardé. La mer, ce jour-là, était plus belle encore, toute bleue, et le ciel aussi. Enfin !<section end="s2"/>