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Ces caisses sont réunies ensuite dans les magasins à poudre. |
Ces caisses sont réunies ensuite dans les magasins à poudre. |
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Avant 1870, nous construisions des magasins à poudre de vastes dimensions. C’est ainsi que dans une place forte, comme Strasbourg, il n’existait que trois magasins à poudre. Mais si l’un de ces magasins venait à sauter, l’autre faisait aussi explosion et l’explosion d’une si énorme quantité de poudre avait des résultats foudroyants. Ajoutez que la garnison allait manquer de poudre. C’est ce qui faillit arriver, en 1870, pendant le siège de Strasbourg. Les obus de l’artillerie allemande avaient fait une telle trouée dans l’épaisse couche de terre qui devait protéger le magasin à poudre, que l’on craignit l’explosion de ce magasin, et que l’on fut obligé, sous le feu de l’ennemi, de déménager, baril par baril, la poudre qui y était renfermée. |
Avant 1870, nous construisions des magasins à poudre de vastes dimensions. C’est ainsi que dans une place forte, comme Strasbourg, il n’existait que trois magasins à poudre. Mais si l’un de ces magasins venait à sauter, l’autre faisait aussi explosion et l’explosion d’une si énorme quantité de poudre avait des résultats foudroyants. Ajoutez que la garnison allait manquer de poudre. C’est ce qui faillit arriver, en 1870, pendant le siège de Strasbourg. Les obus de l’artillerie allemande avaient fait une telle trouée dans l’épaisse couche de terre qui devait protéger le magasin à poudre, que l’on craignit l’explosion de ce magasin, et que l’on fut obligé, sous le feu de l’ennemi, de déménager, baril par baril, la poudre qui y était renfermée. |
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C’est pour cela qu’aujourd’hui on multiplie les magasins à poudre. Chaque fort en contient deux ou trois, chaque place centrale cinq ou six. Pour les besoins du service en temps de paix, on enferme une petite quantité de poudre dans un bâtiment situé à l’extrémité de la cour des casernes. |
C’est pour cela qu’aujourd’hui on multiplie les magasins à poudre. Chaque fort en contient deux ou trois, chaque place centrale cinq ou six. Pour les besoins du service en temps de paix, on enferme une petite quantité de poudre dans un bâtiment situé à l’extrémité de la cour des casernes. |
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La ''Poudrerie nationale du |
La ''Poudrerie nationale du Pont-de-Brest'' (Finistère) occupe 340 ouvriers. Sa superficie est de 37 hectares. |
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La ''Poudrerie nationale du |
La ''Poudrerie nationale du Ripault'' (Indre-et-Loire) occupe 150 ouvriers : superficie, 48 hectares. |
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La ''Poudrerie nationale |
La ''Poudrerie nationale de Sevran-Livry'' (Seine-et-Oise) occupe {{nobr|279 ouvriers}} : superficie, 115 hectares. |
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La ''Poudrerie nationale |
La ''Poudrerie nationale d’Esquerdes'' (Pas-de-Calais) occupe 175 ouvriers : superficie, 34 hectares. |
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La ''Poudrerie nationale |
La ''Poudrerie nationale de Saint-Ponce'' (Ardennes) occupe 34 ouvriers : superficie, 9 hectares 1/2. |
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La ''Poudrerie nationale de |
La ''Poudrerie nationale de Vonges'' (Côte-d’Or) occupe 204 ouvriers : superficie, 34 hectares 1/2. |
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La ''Poudrerie nationale de |
La ''Poudrerie nationale de Saint-Chamas'' (Bouches-du-Rhône) occupe {{nobr|372 ouvriers}} : superficie, 58 hectares 1/2. |
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La ''Poudrerie nationale de |
La ''Poudrerie nationale de Toulouse'' occupe 90 ouvriers : superficie, {{nobr|44 hectares}}. |
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La ''Poudrerie nationale de |
La ''Poudrerie nationale de Saint-Médard'', près Bordeaux, occupe {{nobr|370 ouvriers}} : superficie, 68 hectares. |
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⚫ | Le ''Laboratoire central des poudres et salpêtres'' (12, quai Henri {{rom-maj|IV|4}}, à Paris) comprend, indépendamment des laboratoires où s’effectuent les épreuves d’échantillons et les recherches scientifiques, des locaux affectés : {{ordinal|1}} à l’''Inspection générale des poudres et salpêtres'' ; {{ordinal|2}} à la ''Commission de fabrication des poudres'' ; {{ordinal|3}} à la ''Commission des substances explosives''. |
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⚫ | Le ''Laboratoire central des poudres et salpêtres'' (12, quai Henri IV, à Paris) comprend, indépendamment des laboratoires où s’effectuent les épreuves d’échantillons et les recherches scientifiques, des locaux affectés : 1 |
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Le fusil employé pour la mesure des pressions, dans les conditions mêmes du tir des armes de chasse, se compose d’un canon du calibre 16, se terminant à la hauteur de l’arrière de la cartouche, et fileté à cette extrémité, pour recevoir une culasse démontable, qui contient l’appareil proprement dit de mesure des pressions. Cet appareil se |
Le fusil employé pour la mesure des pressions, dans les conditions mêmes du tir des armes de chasse, se compose d’un canon du calibre 16, se terminant à la hauteur de l’arrière de la cartouche, et fileté à cette extrémité, pour recevoir une culasse démontable, qui contient l’appareil proprement dit de mesure des pressions. Cet appareil se |