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Dans la chambre que l’écrivain avait louée pour elle, la Maslova fit connaissance avec un commis de boutique, un joyeux garçon, qui demeurait dans la même cour. Elle s’éprit de lui, avoua la chose à l’écrivain, qui, aussitôt, la quitta ; et le commis, après lui avoir promis de l’épouser, ne tarda pas à la quitter a son tour. La jeune femme aurait volontiers continué à vivre seule en garni, mais cela lui fut défendu : on lui apprit qu’elle pouvait bien, en vérité, vivre de cette façon, mais seulement à la condition de prendre, au bureau de police, une carte rouge, et de se soumettre à l’examen médical. |
Dans la chambre que l’écrivain avait louée pour elle, la Maslova fit connaissance avec un commis de boutique, un joyeux garçon, qui demeurait dans la même cour. Elle s’éprit de lui, avoua la chose à l’écrivain, qui, aussitôt, la quitta ; et le commis, après lui avoir promis de l’épouser, ne tarda pas à la quitter a son tour. La jeune femme aurait volontiers continué à vivre seule en garni, mais cela lui fut défendu : on lui apprit qu’elle pouvait bien, en vérité, vivre de cette façon, mais seulement à la condition de prendre, au bureau de police, une carte rouge, et de se soumettre à l’examen médical. |
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Alors Katucha revint chez sa cousine. Celle-ci, la voyant vêtue |
Alors Katucha revint chez sa cousine. Celle-ci, la voyant vêtue d’une robe à la mode, avec un beau chapeau et un manteau de fourrure, l’accueillit avec respect, et n’osa plus lui proposer d’entrer dans son atelier ; elle la jugeait désormais promue à une classe |
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