« Page:Bulletin du comité historique des arts et monuments, volume 1, 1849.djvu/203 » : différence entre les versions

{{T3|''Notice faite au commencement du {{s|xvii}} sur les pierres tombales de l’église et du cloître de l’abbaye Notre-Dame-aux-Nonnains de Troyes''.|III.}}

{{taille|« ''Épitaphes ou inscriptions extraictes des tombes et monumentz qui ont esté recognuz en l’eglise et cloistre de l’abbaye Nostre-Dame de Troyes<ref>Le monastère de Notre-Dame de Troyes fut, dit-on, fondé par saint Leuconius, vers le milieu du {{s|xv}} : c’était sans contredit l’abbaye de femmes la plus illustre de Champagne : elle avait haute, basse et moyenne justice, et des priviléges importants qui amenèrent de fréquents démêlés entre les abbesses et les évêques. Ce monastère aujourd’hui a disparu pour faire place à l’hôtel de la préfecture du département de l’Aube.</ref> en l’an 1626, estant lors abesse d’icelle noble dame sœur Claude de Choiseul, nonain professe de ladicte abbaye''.|90}}

:« Semper avaritiæ, dedita munditiæ

« Mitis, amans, simplex, humilis, vetus et juvenilis,

:« Hoc, martisque dies, summa fuere quies.

</poem>|90}}