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Mme la duchesse de Richelieu |
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Mme de Coulanges, femme de celui qui a tant fait de chansons, augmentait la bonne compagnie de l’hôtel de Richelieu ; elle avait une figure et un |
Mme de Coulanges, femme de celui qui a tant fait de chansons, augmentait la bonne compagnie de l’hôtel de Richelieu ; elle avait une figure et un |
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esprit agréables, une conversation remplie de traits vifs et brillants, et ce |
esprit agréables, une conversation remplie de traits vifs et brillants, et ce style lui était si naturel que l’abbé Gobelin |
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style lui était si naturel que l’abbé Gohelin- dit, après une confession géné- |
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</ref> dit, après une confession générale qu’elle lui avait faite : « Chaque péché de cette dame est une épigramme. » |
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parle, et il a fait pour Mme de Maintenon beaucoup de choses galantes qui, |
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que Mme de Maintenon m’a dit plus d’une fois : « Mme d’Heudicourt n’ouvre pas la bouche sans me faire rire ; cependant je ne me souviens pas, depuis |
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voulu avoir dite *. » |
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Madame la dauphine voyait la nécessité d’être bien avec la favorite pour |
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être bien avec le roi son beau-père ; mais, la regardant en même temps |
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comme une personne dangereuse dont il fallait se défier, elle se détermina à |
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la retraite oîi elle était naturellement portée, et ne découvrit qu’après la mort |
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de Mme de Richelieu, dans un éclaircissement qu’elle eut avec Mme de Maintenon, la fausseté des choses qu’elle lui avait dites. Étonnée de la voir aussi |
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affligée, elle marqua sa surprise, et par l’enchaînement de la conversation |
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elle mit au jour les mauvais procédés de cette infidèle amie’\ |
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de Mme de Maintenon ! Il avait besoin d’être dirigé par elle ; aussi |
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l’était-il. |
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⚫ | Mme de Schomberg était précieuse ; Mlle de Pons, bizarre, naturelle, sans jugement, pleine d’imagination, toujours nouvelle et divertissante, telle enfin que Mme de Maintenon m’a dit plus d’une fois : « Mme d’Heudicourt n’ouvre pas la bouche sans me faire rire ; cependant je ne me souviens pas, depuis |
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Madame la dauphine voyait la nécessité d’être bien avec la favorite pour être bien avec le roi son beau-père ; mais, la regardant en même temps comme une personne dangereuse dont il fallait se défier, elle se détermina à la retraite où elle était naturellement portée, et ne découvrit qu’après la mort de Mme de Richelieu, dans un éclaircissement qu’elle eut avec Mme de Maintenon, la fausseté des choses qu’elle lui avait dites. Étonnée de la voir aussi affligée, elle marqua sa surprise, et par l’enchaînement de la conversation elle mit au jour les mauvais procédés de cette infidèle amie |
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