« Page:Roustam Souvenirs, 1911.djvu/243 » : différence entre les versions
→Corrigée : Mission 7500 |
|||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page validée | |
En-tête (noinclude) : | En-tête (noinclude) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{nr|194|{{sc|fontainebleau}}|}} |
|||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
quelque temps après, les instructions |
quelque temps après, les instructions |
||
nécessaires pour arranger nos affaires et |
|||
venir me retrouver avec ses enfants, mais |
|||
que, cependant, je ferais ce qui dépendrait |
|||
de moi pour aller lui faire mes adieux. |
|||
Je me hasardai donc à en demander la |
Je me hasardai donc à en demander la |
||
permission à l’Empereur, qui me l’accorda, |
|||
et je partis, un matin. Mais sa tristesse |
|||
m’ôta le courage de lui parler de moi, et il |
|||
ne sut rien des désagréments que je venais |
|||
d’éprouver. |
|||
J’arrivai à Paris. Ma femme me dit |
|||
J’arrivai à Paris. Ma femme me dit qu’elle venait de m’écrire et qu’elle m’approuvait beaucoup du parti que j’avais pris de suivre l’Empereur et qu’elle était toute disposée, quoiqu’il lui en coûtât beaucoup de quitter son père et sa mère, à me rejoindre dès que je la demanderais. C’était aussi le contenu de sa lettre, mais elle me conseilla, lorsque je serais de retour à Fontainebleau, de parler avec franchise à |
|||
qu’elle venait de m’écrire et qu’elle m’approuvait |
|||
beaucoup du parti que j’avais pris |
|||
de suivre l’Empereur et qu’elle était toute |
|||
disposée, quoiqu’il lui en coûtât beaucoup |
|||
de quitter son père et sa mère, à me |
|||
rejoindre dès que je la demanderais. C’était |
|||
aussi le contenu de sa lettre, mais elle me |
|||
conseilla, lorsque je serais de retour à |
|||
Fontainebleau, de parler avec franchise à |