« Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 10.djvu/230 » : différence entre les versions

 
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Monsieur le Marquis, il ne faut point lanterner, il nous faut promptement un bel enfant de votre façon, et par là élever tous vos parents, et leur donner la qualité de grands. Pour moi, je ne désespère point du tout de voir les enfants de vos enfants ; et si ce bonheur m’arrive, je me flatte que vous voudrez bien me présenter à eux, comme ayant l’honneur d’être neveu de leur quatrième aïeule<ref>{{sc|Lettre}} 1398. — 1. C’est-à-dire de la mère de {{Mme}} de Sévigné.</ref>.
Monsieur le Marquis, il ne faut point lanterner, il nous faut promptement un bel enfant de votre façon, et par là élever tous vos parents, et leur donner la qualité de grands. Pour moi, je ne désespère point du tout de voir les enfants de vos enfants ; et si ce bonheur m’arrive, je me flatte que vous voudrez bien me présenter à eux, comme ayant l’honneur d’être neveu de leur quatrième aïeule<ref>{{sc|Lettre}} 1398. — 1. C’est-à-dire de la mère de {{Mme}} de Sévigné.</ref>.