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Maurice, pendant qu’un vif afflux de sang lui
LES TRIBULATIONS DE MAURICE
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colorait le visage.
I IO,

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Maurice, pendant qu'un vif afflux de sang- lui
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— Sans doute ! sans doute ! lui dit M. Judkin,
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colorait le visage.
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en fixant de nouveau sur lui son terrible regard.
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Sans doute! sans doute! lui dit M. Judkin,
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— Et puis, risqua Maurice, si même vous ne
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en fixant dé nouveau sur lui son terrible regard.
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pouvez pas me remettre de grosses sommes, ceci
—
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n’est qu’une bagatelle… ces deux cents livres !
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Et puis, risqua Maurice, si même vous ne

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pouvez pas me remettre de grosses sommes,ceci
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— Sans doute, monsieur Finsbury ! répondit
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n'est qu'une bagatelle... ces deux cents livres !
—
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Sans doute, monsieur Finsbury! répondit
M. Judkin. Ce que vous dites est vrai ; et, si vous
M. Judkin. Ce que vous dites est vrai ; et, si vous
insistez, je ne manquerai pas de soumettre votre
insistez, je ne manquerai pas de soumettre votre
demande à notre conseil d'administration. Mais
demande à notre conseil d’administration. Mais
je crains bien... en un mot, monsieur Finsbury,
je crains bien… en un mot, monsieur Finsbury,
je crains que celte signature ne soit pas aussi
je crains que cette signature ne soit pas aussi
correcte que nous sommes en droit de la dési-
correcte que nous sommes en droit de la désirer…

rer...
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— Oh ! cela n’a aucune importance ! murmura
!
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Oh ! cela n'a aucune importance ! murmura
précipitamment Maurice. Je vais demander à mon
précipitamment Maurice. Je vais demander à mon
oncle de la recommencer. Voyez-vous, poursuivit-
oncle de la recommencer. Voyez-vous, poursuivit-il
il en reprenant un peu d'assurance, — voyez-vous,
en reprenant un peu d’assurance, — voyez-vous,
monsieur, mon oncle est si souffrant qu'il n'a pas
monsieur, mon oncle est si souffrant qu’il n’a pas
eu,la force de signer ce chèque sans recourir à
eu la force de signer ce chèque sans recourir à
mon assistance ; et j'imagine que les différences
mon assistance ; et j’imagine que les différences
dans la signature viennent de ce que j'ai dû lui
dans la signature viennent de ce que j’ai dû lui
tenir la main.
tenir la main.

t
M. Judkin lança un regard aigu, droit dans les
M. Judkin lança un regard aigu, droit dans les
yeux de Maurice. Puis il se retourna vers M. Bell.
yeux de Maurice. Puis il se retourna vers M. Bell.
—
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Eh bien! dit-il, je commence à croire que


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— Eh bien! dit-il, je commence à croire que
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