« Page:Rousseau - La Monongahéla, 1890.djvu/127 » : différence entre les versions
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
remarque dans cette foule dont les ancêtres viennent de la Catalogne ou de l’Andalousie. Ce n’est que ceintures aux mille couleurs, corsages brodés, vestes de velours, bas à coins élégants, guêtres bariolées, souliers à boucles d’argent, légères mantilles jetées sur la tête au travers desquelles brillent les yeux noirs. |
remarque dans cette foule dont les ancêtres viennent de la Catalogne ou de l’Andalousie. Ce n’est que ceintures aux mille couleurs, corsages brodés, vestes de velours, bas à coins élégants, guêtres bariolées, souliers à boucles d’argent, légères mantilles jetées sur la tête au travers desquelles brillent les yeux noirs.<ref>Voir Ferland, ''Cours d’Histoire du Canada'', {{2e}} partie, p. 407.</ref> |
||
Dans une loge spécialement réservée à cet effet, Don Pedro de Vilescas, le commandant du fort, vient |
Dans une loge spécialement réservée à cet effet, Don Pedro de Vilescas, le commandant du fort, vient |