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L’encouragement du public me force à donner suite à une idée dont j’ai fait part au lecteur dans la préface d’un ouvrage publié en 1888 |
L’encouragement du public me force à donner suite à une idée dont j’ai fait part au lecteur dans la préface d’un ouvrage publié en 1888<ref> ''Les Exploits d’Iberville''. — C. Darveau, éditeur, 82, rue de {{corr|a|la}} Montagne, Québec.</ref>. Je ne pourrais que me répéter en présentant à mes patrons ce nouveau-né. Je leur fais grâce de cette longue et ennuyeuse tirade « dont les meilleures ne valent rien, » disait un auteur célèbre, et je me contente de déclarer ici que le but que je poursuis dans les pages qui vont suivre est toujours le même : vulgariser, populariser l’Histoire du Canada et la présenter sous la forme la plus agréable possible. |
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Si le lecteur me rend le témoignage que je n’ai |
Si le lecteur me rend le témoignage que je n’ai |
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