« Page:Maison rustique du XIXe siècle, éd. Bixio, 1844, I.djvu/160 » : différence entre les versions

m Le modèle:n° introduit une espace insécable.
m →‎top : typo,
 
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
{{Image2|center|Maison rustique du XIXe siècle, éd. Bixio, 1844, I (page 146) - Fig 110.jpg|500px}}{{Image2|center|Maison rustique du XIXe siècle, éd. Bixio, 1844, I (page 146) - Fig 112.jpg|500px}}{{tiret2|va|che}}, soit avec une manivelle à main, soit avec les ailes d’un moulin à vent. Le ''Mémorial encyclopédique'' a décrit, dans le {{n°}}de juin 1834, une nouvelle machine pour élever l’eau, de l’invention de M. Edwards {{sc|Lucas}}, de Birmingham ; on doit aussi à M. {{sc|Laperelle}} une machine à épuisement, simple et puissante, qui sera décrite et figurée à l’article ''irrigations''.
{{Image2|center|Maison rustique du XIXe siècle, éd. Bixio, 1844, I (page 146) - Fig 110.jpg|500px}}{{Image2|center|Maison rustique du XIXe siècle, éd. Bixio, 1844, I (page 146) - Fig 112.jpg|500px}}{{tiret2|va|che}}, soit avec une manivelle à main, soit avec les ailes d’un moulin à vent. Le ''Mémorial encyclopédique'' a décrit, dans le {{n°}}de juin 1834, une nouvelle machine pour élever l’eau, de l’invention de M. Edwards {{sc|Lucas}}, de Birmingham ; on doit aussi à M. {{sc|Laperelle}} une machine à épuisement, simple et puissante, qui sera décrite et figurée à l’article ''irrigations''.


Dans les contrées entrecoupées de nombreux cours d’eau, il n’est pas rare de trouver auprès des rivières des bas-fonds plus profonds que le lit de celles ci, en sorte qu’il est impossible de procurer par le moyen de la rivière aucun écoulement aux eaux qui refluent dans ces bas-fonds. Dans ce cas, pour opérer l’assainissement,qui semble impraticable autrement que par des machines à épuiser, on peut encore, après avoir encaissé par le moyen de digues le cours plus élevé de la rivière, faire passer l’eau sous les digues et sous le lit de la {{Image2|center|Maison rustique du XIXe siècle, éd. Bixio, 1844, I (page 146) - Fig 111.jpg|500px}}rivière,
Dans les contrées entrecoupées de nombreux cours d’eau, il n’est pas rare de trouver auprès des rivières des bas-fonds plus profonds que le lit de celles ci, en sorte qu’il est impossible de procurer par le moyen de la rivière aucun écoulement aux eaux qui refluent dans ces bas-fonds. Dans ce cas, pour opérer l’assainissement, qui semble impraticable autrement que par des machines à épuiser, on peut encore, après avoir encaissé par le moyen de digues le cours plus élevé de la rivière, faire passer l’eau sous les digues et sous le lit de la {{Image2|center|Maison rustique du XIXe siècle, éd. Bixio, 1844, I (page 146) - Fig 111.jpg|500px}}rivière,


soit par le moyen de tuyaux ou de conduits en bois, soit par celui de canaux, aqueducs ou tunnels en maçonnerie et couverts, à l’aide desquels on conduit l’eau dans quelques ruisseaux inférieurs. {{sc|Cretté de Paluel}} a mis cette méthode en pratique dans plusieurs circonstances avec un plein succès. {{d|'''[[Auteur: Charles-François Bailly de Merlieux|{{abréviation|C. B. de M.| Charles-François Bailly de Merlieux}}]] '''}}
soit par le moyen de tuyaux ou de conduits en bois, soit par celui de canaux, aqueducs ou tunnels en maçonnerie et couverts, à l’aide desquels on conduit l’eau dans quelques ruisseaux inférieurs. {{sc|Cretté de Paluel}} a mis cette méthode en pratique dans plusieurs circonstances avec un plein succès. {{d|'''[[Auteur: Charles-François Bailly de Merlieux|{{abréviation|C. B. de M.| Charles-François Bailly de Merlieux}}]] '''}}