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sent des montagnes ou des promontoires (des caps) qu’ils rencontrent ; obstacles qui, les arrêtant, les répercutant et poussant l’air du vent réfléchi contre celui du vent direct, rapprochent ainsi les parties de ce fluide, et le condensent peu à peu[1].

33. Les vents légers et foibles s’élevent ordinairement le matin, et tombent au coucher du soleil ; la condonsation de l’air opérée par la fraîcheur de la nuit suffisant alors pour les faire tomber, et détruisant ce foible mouvement que la dilatation diurne avoit excité ; car l’air se laisse comprimer jusqu’à un certain point, sans réagir avec violence.

31. On croit communément que le son des cloches peut éloigner les orages, mais peut-il produire le même effet sur

  1. On voit que la possibilité de la conversion de l’air en eau est ici affirmée positivement et directement. Voyez à ce sujet l’antépénultième note de l’ouvrage précédent, note commençant par ces mots : si l’air s’assimilant continuellement.