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quelles se trouvent des montagnes plus élevées, l’agitation de l’air est plus grande et le vent plus sensible que sur les montagnes et dans les plaines.

2. Dans les villes où se trouvent des endroits très spacieux, dont les issues sont fort étroites, ou encore aux points d’intersection des places ou des rues qui se croisent, le vent est toujours plus sensible que par-tout ailleurs, et il n’y règne presque jamais un calme parfait.

3. Dans beaucoup d’édifices l’air est fréquemment rafraîchi par des ventilateurs naturels ou artificiels ; effet qui a lieu sur-tout lorsque l’air, ayant un libre cours, entre par un côté et sort par le coté opposé, et qui est encore plus sensible, lorsque l’air, entrant par différens côtés tout à la fois et suivant des directions qui font angle, trouve ensuite une issue au point où concourent toutes ces lignes ; ou encore dans les salles voûtées, et en général d’une forme arrondie, où l’air, mis aussi en mouvement, est répercuté, tant par le pla-