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ibn khaldoun 2
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Deuxième volume
 
 
{{table|titre= Sur les dignités et les titres qui sont spéciaux à un gouvernement royal ou sultanat |indentation= -1 |page= {{pli|1|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= Bureau des finances et des contributions |indentation= -1 |page= {{pli|19|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= Le bureau de la correspondance et du secrétariat |indentation= -1 |page= {{pli|26|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= Le commandement de la flotte |indentation= -1 |page= {{pli|37|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= Différence remarquable qui existe entre les charges d’épée et celles de plume. |indentation= -1 |page= {{pli|46|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= Sur les emblèmes de la royauté et les marques distinctives de la souveraineté. |indentation= -1 |page= {{pli|48|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= De la ''macsoura'' et de la prière qui se fait du haut de la chaire . |indentation= -1 |page= {{pli|71|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= Sur la guerre et sur les usages militaires des divers peuples |indentation= -1 |page= {{pli|75|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= Sur la cause qui fait augmenter ou diminuer le revenu d’un empire |indentation= -1 |page= {{pli|91|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= Les droits d’entrée et de marché s’établissent quand l’empire tire vers sa fin |indentation= -1 |page= {{pli|94|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= Le souverain qui fait le commerce pour son compte nuit aux intérêts de ses sujets et ruine les revenus de l’Etat |indentation= -1 |page= {{pli|95|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Le sultan et ses officiers ne vivent dans l’opulence qu’à l’époque où l’empire est dans la période intermédiaire de son existence |indentation= -1 |page= {{pli|99|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= La diminution des (railemenls amène une diminution dans le revenu |indentation= -1 |page= {{pli|105|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= Un gouvernement oppressif amène la ruine de la prospérité publique |indentation= -1 |page= {{pli|106|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= Comment l’office de chambellan s’établit. Il acquiert une grande importance quand l’empire est en décadence |indentation= -1 |page= {{pli|114|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= Quand la décadence d’un empire commence, rien ne l’arrête |indentation= -1 |page= {{pli|120|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Comment la désorganisation s’introduit dans un empire, |indentation= -1 |page= {{pli|121|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Dans les premiers temps d’un empire, ses frontières ont toute l’étendue qu’elles sont capables de prendre, ensuite elles se rétrécissent graduellement jusqu’à ce que l’empire soit réduit à rien et s’anéantisse |indentation= -1 |page= {{pli|127|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= Comment se forment les empires |indentation= -1 |page= {{pli|131|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Ce n’est qu’à la longue qu’un empire qui commence fait la conquête d’un empire déjà établi; il n’y réussit pas (tout d’abord) par la force des armes. |indentation= -1 |page= {{pli|133|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Quand un empire est dans la dernière période de son existence, la population est très-nombreuse et les famines, ainsi que les grandes mortalités, sont fréquentes. |indentation= -1 |page= {{pli|138|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= La société ne saurait exister sans un gouvernement (''sïaça'') qui puisse y maintenir l’ordre |indentation= -1 |page= {{pli|140|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= Sur le Fatémide (qui doit paraître vers la fin du monde). — Diverses opinions qu’on professe à son sujet. — La vérité sur cette matière mise au jour |indentation= -1 |page= {{pli|158|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= Sur les prédictions qui concernent les dynasties et les nations. — Dans ce chapitre l’auteur parle des ''melahim'' (recueils de prédictions), et fait connaître ce que l’on entend par le mot ''djefr'' |indentation= -1 |page= {{pli|205|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
<div style="margin-left:1em; padding-right:40px; text-indent:-1em;">[[Les Prolégomènes/4|QUATRIÈME SECTION.]] Sur les villages, les villes, les cités et autres lieux où se trouvent des populations sédentaires. — Sur les circonstances qui s’y présentent. — Observations préliminaires et supplémentaires.</div>
 
{{table|titre= La fondation des empires précède celle des villes et des cités. — La royauté s’établit d’abord et la cité ensuite |indentation= -1 |page= {{pli|238|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Le peuple qui acquiert un empire est porté à s’établir dans des villes |indentation= -1 |page= {{pli|240|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Les grandes villes et les édifices très-élevés n’ont pu être construits que par des rois très-puissants |indentation= -1 |page= {{pli|241|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Les édifices d’une grandeur colossale ne peuvent pas devoir leur entière construction à un seul souverain |indentation= -1 |page= {{pli|245|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Sur les choses dont il faut tenir compte lorsqu’on fonde une ville, et sur les suites que le défaut de prévoyance en cette matière peut avoir |indentation= -1 |page= {{pli|247|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Quels sont les mosquées et les temples les plus illustres de l’univers |indentation= -1 |page= {{pli|253|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= Pourquoi les cités et les villes sont peu nombreuses en Ifrikiya et dans le Maghreb. |indentation= -1 |page= {{pli|271|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Les édifices et les grandes constructions élevées par les musulmans sont loin d’être en rapport avec la grandeur de ce peuple, et restent bien au-dessous des bâtiments laissés par les nations précédentes |indentation= -1 |page= {{pli|273|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= La plupart des édifices bâtis par les Arabes tombent promptement en ruine |indentation= -1 |page= {{pli|274|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= Comment les villes tombent en ruine |indentation= -1 |page= {{pli|276|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= Si certaines villes et métropoles surpassent les autres en activité commerciale et par le bien-être dont on y jouit, cela tient à ce qu’elles les surpassent aussi par leur population |indentation= -1 |page= {{pli|277|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Sur le prix (des denrées et des marchandises) dans les villes |indentation= -1 |page= {{pli|282|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Les gens de la campagne ne sont pas assez riches pour habiter les villes qui possèdent une nombreuse population |indentation= -1 |page= {{pli|286|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Les différences qui existent entre un pays et un autre, sous le rapport de la pauvreté ou du bien-être, proviennent des mêmes causes qui établissent des différences semblables entre les villes |indentation= -1 |page= {{pli|287|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Comment un grand nombre de maisons et de fermes se trouvent dans la possession de quelques habitants des villes. — Avantages qu’ils peuvent en retirer. |indentation= -1 |page= {{pli|291|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Dans les grondes villes, les hommes riches ont besoin de protecteurs ou doivent être dans une position qui les fasse respecter |indentation= -1 |page= {{pli|293|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Les grandes villes doivent aux dynasties qui y ont régné leur portion de cette civilisation qui se développe dans la vie sédentaire. Plus ces dynasties ont eu de durée et de force, plus cette civilisation est forte et persistante |indentation= -1 |page= {{pli|294|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= La civilisation de la vie sédentaire marque le plus haut degré du progrès auquel un peuple peut atteindre; c’est le point culminant de l’existence de ce peuple, et le signe qui en annonce la décadence |indentation= -1 |page= {{pli|300|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Toute ville qui est le siège d’un empire tombe en ruine lors de la chute de cet empire |indentation= -1 |page= {{pli|307|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Certaines villes se distinguent par la culture de certains arts |indentation= -1 |page= {{pli|312|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= L’esprit de corps peut exister dans les villes; quelques-uns d’entre les habitants dominent alors sur le reste |indentation= -1 |page= {{pli|313|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Sur les dialectes (arabes) parlés dans les villes. |indentation= -1 |page= {{pli|316|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
<div style="margin-left:1em; padding-right:40px; text-indent:-1em;">[[Les Prolégomènes/5|CINQUIÈME SECTION.]] Sur les moyens de se procurer la subsistance, sur l’acquisition, les arts et tout ce qui s’y rattache. Examen des questions auxquelles ce sujet donne lieu.</div>
 
{{table|titre= De la véritable signification des termes bénéfice (''rizc'') et acquisition (''kesb''). On prouve que celle-ci est le prix du travail de l’homme |indentation= -1 |page= {{pli|319|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= Sur les voies et moyens divers de gagner sa vie (''ma-ach'') |indentation= -1 |page= {{pli|323|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Travailler au service d’un maître est un moyen de gagner sa vie qui n’est pas conforme à la nature |indentation= -1 |page= {{pli|326|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= La recherche des trésors et des dépôts enfouis n’est pas un moyen naturel de gagner sa vie et de s’enrichir |indentation= -1 |page= {{pli|328|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= La haute considération est une source de richesses |indentation= -1 |page= {{pli|336|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Ce sont ordinairement les gens qui savent s’abaisser et faire leur cour qui réussissent dans le monde et qui font fortune. La servilité et la flatterie doivent compter parmi les moyens de parvenir |indentation= -1 |page= {{pli|338|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Les personnes chargées de fonctions qui se rattachent à la religion, les cadis, par exemple, les muftis, les instituteurs, les imams, les prédicateurs et les moueddins parviennent rarement à s’enrichir |indentation= -1 |page= {{pli|346|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Les hommes de peu de considération et les campagnards besoigneux sont les seuls qui adoptent l’agriculture comme un moyen de se procurer la subsistance |indentation= -1 |page= {{pli|347|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Sur le commerce, sa signification, ses procédés et ses divers genres |indentation= -1 |page= {{pli|348|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= Sur l’exportation de marchandises |indentation= -1 |page= {{pli|349|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= De l’accaparement |indentation= -1 |page= {{pli|350|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= Le vil prix d’une marchandise nuit aux intérêts de ceux qui, par métier, s’occupent de cette (espèce de marchandise) dépréciée |indentation= -1 |page= {{pli|352|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Quels sont les hommes qui peuvent s’adonner au commerce avec avantage, et ceux qui doivent s’en abstenir |indentation= -1 |page= {{pli|354|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Le caractère moral des négociants est inférieur à celui des personnages qui exercent de hauts commandements, et s’éloigne de celui qui distingue l’homme de cœur. |indentation= -1 |page= {{pli|355|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Pour apprendre un art quelconque, il faut avoir un maître |indentation= -1 |page= {{pli|357|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Les arts se perfectionnent dans une ville à mesure du progrès de la civilisation et de l’accroissement de la population |indentation= -1 |page= {{pli|358|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= La stabilité et la durée des arts, dans une ville, dépendent de la stabilité et de l’ancienneté de la civilisation dans cette ville |indentation= -1 |page= {{pli|360|8}} |largeurp= 40 }}