« Page:Mercure de France - 1747-03.djvu/47 » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
|||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page corrigée | |
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
excepte de |
excepte de ſes dédains un cœur tel que le vôtre ; je n’en mépriſe donc point l’hommage, vous dirai-je encore plus ? je l’eſtime. |
||
{{Personnage|Laſcaris.|c}} |
{{Personnage|Laſcaris.|c}} |
||
Qu’entends-je ? Ah ! |
Qu’entends-je ? Ah ! Princeſſe. |
||
{{Personnage|Roxane.|c}} |
{{Personnage|Roxane.|c}} |
||
Ligne 8 : | Ligne 8 : | ||
{{Personnage|Laſcaris.|c}} |
{{Personnage|Laſcaris.|c}} |
||
J’ai donc été dès cet |
J’ai donc été dès cet inſtant le plus heureux de tous les hommes ; quoi ! Roxane me plaignoit ? |
||
{{Personnage|Roxane.|c}} |
{{Personnage|Roxane.|c}} |
||
Roxane a |
Roxane a ſouhaité la fin de vos infortunes, puiſſent-elles enfin être terminées ! puiſſe le Ciel exaucer mes vœux ! mais rejoignons l’Empereur ; à peine Irene vous a-t-elle vu, & ſa tendreſſe vous attend, ſans doute, avec impatience. |