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septentrionale de la mer du Nord (voy. p. 7). |
septentrionale de la mer du Nord (voy. p. 7). |
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La pagode principale est dans une position pittoresque, |
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au milieu d’une végétation luxuriante : elle contient |
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usgífoule cfidolesÿappartenantia ce culte bizarre, dernier |
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une foule d’idoles appartenant à ce culte bizarre, dernier |
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vestige du fétichisme ancien, méprisé par la plupart des |
vestige du fétichisme ancien, méprisé par la plupart des |
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Chinois, et qui n’a plus d’adorateurs que dans les derniers |
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rangs de la populace. |
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îideq la populaceÿ, ’, 4 I I ’ |
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Mais il est temps que nous descendions directement |
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vers la porte de Hao, qui nous donnera accès dans l’enceinte |
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de la Ville Jaune. |
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de la’Ville Jaunef " "J ’ " ’ L " ’ Ö’ ’ " |
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X/îoipi¿la’me r. des Reseaux, couver tel de nymphÿeas, |
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(Passons, sqr ¿ce : poncezauxla -prisgš plfeau qui. alirqente |
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U MONDE. |
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Voici la mer des Roseaux, couverte de nympæas |
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elle mérite justement son nom, car ces {{corr|plautes|plantes}} aquatiques |
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envahissent plus de la moitié de sa surface : l’aspect |
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moment de leur floraison. |
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Passons sur ce ponceau la prise d’eau qui alimente |
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de celles de l’enceinte extérieure de la ville que par |
de celles de l’enceinte extérieure de la ville que par |
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l’absence de corps de garde et de demi-lune, et pénétrons |
l’absence de corps de garde et de demi-lune, et pénétrons |
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jusqu’au pied de la |
jusqu’au pied de la montagne de Charbon, qui est le |
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point le plus élevé de |
point le plus élevé de Pékin. |
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La montagne de Charbon, Mee- |
La montagne de Charbon, ''Mee-Chaen'', est une colline |
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surmontée |
surmontée d’un mamelon, qui est lui-même couronné |
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par un kiosque à deux étages |
par un kiosque à deux étages d’une élégance merveilleuse ; |
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une foule de kiosques, de pagodes, de temples, |
une foule de kiosques, de pagodes, de temples, |
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de |
de ''Fou'', couvrent cette colline et s’entassent pittoresquement |
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les uns au-dessus des autres à différentes hauteurs. |
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Un gazon toujours vert en recouvre toutes les pentes, |
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tandis que dans le reste de |
tandis que dans le reste de la ville le plus petit brin d’herbe |
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est brûlé par |
est brûlé par le soleil, et par la poussière de Mongolie. |
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Cette fertilité de la montagne |
Cette fertilité de la montagne de Charbon tient à l’humidité |
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du sol et à l’immense amas de |
du sol et à l’immense amas de charbon de terre |
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qui l’a formée. |
qui l’a formée. L’histoire raconte à ce sujet qu’aux |
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temps |
temps passés un empereur chinois, menacé d’un long |
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nécessaire au chauffage de la ville pendant plusieurs |
nécessaire au chauffage de la ville pendant plusieurs |
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années ; quelle que soit la vérité de cette tradition, |
années ; quelle que soit la vérité de cette tradition, |
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du labyrinthe de petites ruelles que forment les édifices |
du labyrinthe de petites ruelles que forment les édifices |
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bâtis sur cette colline, où habitent seulement des bonzes |
bâtis sur cette colline, où habitent seulement des bonzes |
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et des personnages d’un rang |
et des personnages d’un rang élevé ! Aussi n’y rencontre-t-on |
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pas les immondices habituels aux quartiers |
pas les immondices habituels aux quartiers |
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populaires. Ce sont des surprises de tous les instants. |
populaires. Ce sont des surprises de tous les instants. |
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Des ponts de rocaille, des fontaines avec des sculptures |
Des ponts de rocaille, des fontaines avec des sculptures |
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grotesques, des pagodes qui laissent entrevoir des dieux |
grotesques, des pagodes qui laissent entrevoir des dieux |
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effrayants, puis des bosquets de camellias, de lilas, d’hydrangées, |
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de vieux |
de vieux cèdres centenaires, des oiseaux joyeux |
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Dessin de Lancelot d’a.prës Palbum de Mme de Bourboulon. |
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pas, et ne sort de chez lui qu’en pompe. |
pas, et ne sort de chez lui qu’en pompe. |
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Du sommet de la montagne de Charbon, la vue embrasse |
Du sommet de la montagne de Charbon, la vue embrasse |
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un panorama immense : c’est le point culminant |
un panorama immense : c’est le point culminant |
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de Pékin, et on l’aperçoit de toutes les parties de la ville. |
de Pékin, et on l’aperçoit de toutes les parties de la ville. |
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Si nous tournons à droite, voici un point de vue non |
Si nous tournons à droite, voici un point de vue non |
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moins splendide, c’est le |
moins splendide, c’est le ''Pei-tha-sse'' qui s’élève dans |
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une presqu’île au centre de la mer du Milieu. |
une presqu’île au centre de la mer du Milieu. |
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Le |
Le ''Pei-tha-sse'' est à la fois une bonzerie et un monument |
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funéraire élevé à la mémoire du dernier empereur |
funéraire élevé à la mémoire du dernier empereur |
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de la dynastie des Ming. |
de la dynastie des ''Ming''. |
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Dans le jardin |
Dans le jardin Impérial se trouve encore l’arbre où |
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se pendit cet infortuné monarque, lorsque sa capitale |
se pendit cet infortuné monarque, lorsque sa capitale |
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fut occupée par l’armée tartare (1644). L’empereur |
fut occupée par l’armée tartare (1644). L’empereur |
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mandchou, |
mandchou, qu’il avait dépouillé de son trône, fit couvrir |
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de chaînes l’arbre coupable d’avoir prêté ses branches |
de chaînes l’arbre coupable d’avoir prêté ses branches |