« Page:Revue de linguistique et de philologie comparée, tome 12.djvu/101 » : différence entre les versions

→‎Page non corrigée : Page créée avec « primé dans les deux premières personnes de l’imparfait et la forme du conditionnel présent. 11 y a aussi la forme du subjonctif présent : que je finige, que tu fi... »
(Aucune différence)

Version du 11 mai 2021 à 08:20

Cette page n’a pas encore été corrigée
— 91 —

primé dans les deux premières personnes de l’imparfait et la forme du conditionnel présent.

11 y a aussi la forme du subjonctif présent : que je finige, que tu finige, qu’il (inige, que je finigions^ etc.

Troisième conjugaison.

En oir, prononcé ai ou a (recevoir, receva^ recevai).

L’indicatif présent fait : je reçais, tu reçois^ il reçoit ; le reste comme en français.

Le subjonctif remplace oi par è : que je recève^ que tu recèves, etc.

Quatrième conjugaison.

En DRE, qui se prononce re ou de {prende ou prenre, rende ou renre), d’où le futur fait régulièrement retirai.

Dans certains pays, on trouve au subjonctif l’ancienne forme : que je prenge, que tu pvenges, qu’il prenge, que je prengiom, etc.

PARTICIPE PRÉSENT.

Il est parfois employé adjectivement, et a le sens de facile ou difficile à fpire :

Une mouche qui n’est pas tuante (facile à tuer).

Un ouvrage qui n’est pas faisant (facile à faire).

Ou bien il sert à indiquer une chose qui a de l’action sur une autre :

Une terre venante (une terre où tout pousse bien).

Un temps venant (un temps qui fait pousser les herbes).