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Ils sont très gais, très caustiques, les Chinois, et l’on conviendra qu’il y avait matière à quelque gaieté. De là des plaisanteries de tout genre, et même des caricatures qui débordaient le mur de la vie privée. |
Ils sont très gais, très caustiques, les Chinois, et l’on conviendra qu’il y avait matière à quelque gaieté. De là des plaisanteries de tout genre, et même des caricatures qui débordaient le mur de la vie privée. |
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<includeonly>[[Fichier:Verne - Les Tribulations d’un Chinois en Chine - 100.png|vignette|centré|500px|{{centré|Une interminable avenue. (Page 83.)}}]]</includeonly> |
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Kin-Fo, à son grand déplaisir, dut supporter les inconvénients de cette célébrité singulière. On alla jusqu’à le chansonner sur l’air de « Mantchiang-houng », le vent qui souffle dans les saules. Il parut une complainte, qui le mettait plaisamment en scène : ''Les Cinq Veilles du Centenaire'' ! Quel titre alléchant, et quel débit il s’en fit à trois sapèques l’exemplaire ! |
Kin-Fo, à son grand déplaisir, dut supporter les inconvénients de cette célébrité singulière. On alla jusqu’à le chansonner sur l’air de « Mantchiang-houng », le vent qui souffle dans les saules. Il parut une complainte, qui le mettait plaisamment en scène : ''Les Cinq Veilles du Centenaire'' ! Quel titre alléchant, et quel débit il s’en fit à trois sapèques l’exemplaire ! |
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