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18°. Qu’on n’espère de ressources pour les besoins extraordinaires de l’État que de la prospérité de la Nation, & non du crédit des Financiers ; car les fortunes pécuniaires sont des richesses clandestines qui ne connaissent ni Roi ni patrie.
18°. Qu’on n’espère de ressources pour les besoins extraordinaires de l’État que de la prospérité de la Nation, & non du crédit des Financiers ; car les fortunes pécuniaires sont des richesses clandestines qui ne connaissent ni Roi ni patrie.


19°. Que l’État évite les emprunts qui forment des rentes financieres, & qui occasionnent un commerce ou trafic de finance, par l’entremise des papiers commerçables, où l’escompte augmente de plus en plus les fortunes pécuniaires stériles qui séparent la finance de l’agriculture, & qui la {{tiret|pri|privent}}
19°. Que l’État évite les emprunts qui forment des rentes financieres, & qui occasionnent un commerce ou trafic de finance, par l’entremise des papiers commerçables, où l’escompte augmente de plus en plus les fortunes pécuniaires stériles qui séparent la finance de l’agriculture, & qui la {{tiret|pri|vent}}