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On a cru devoir réimprimer cette ode telle qu’elle a été composée et publiée en juin 1826, à l’époque du désastre de Missolonghi. Il est important de se rappeler, en la lisant, que tous les journaux d’Europe annoncèrent la mort de Canaris, tué dans son brûlot par une bombe turque, devant la ville qu’il venait secourir. Depuis, cette nouvelle fatale a été heureusement démentie. (''Note de l’édition originale.'')
On a cru devoir réimprimer cette ode telle qu’elle a été composée et publiée en juin 1826, à l’époque du désastre de Missolonghi. Il est important de se rappeler, en la lisant, que tous les journaux d’Europe annoncèrent la mort de Canaris, tué dans son brûlot par une bombe turque, devant la ville qu’il venait secourir. Depuis, cette nouvelle fatale a été heureusement démentie. (''Note de l’édition originale.'')
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Page 643.{{cach|{{points|10}}}}Oui, Canaris, tu vois le sérail, et ma tête
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{{cach|Page 643.{{points|10}}}}Arrachée au cercueil pour orner cette fête.
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Oui, Canaris, tu vois le sérail, et ma tête
Arrachée au cercueil pour orner cette fête.
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Une lettre de Corfou, que nous avons sous les yeux, affirme que les Turcs, vainqueurs de Missolonghi, ont ouvert le tombeau de Marcos Botzaris, ce Léonidas moderne. C’était sans doute pour y prendre une tête de plus. (''Note du Journal des Débats, 1826.'')
Une lettre de Corfou, que nous avons sous les yeux, affirme que les Turcs, vainqueurs de Missolonghi, ont ouvert le tombeau de Marcos Botzaris, ce Léonidas moderne. C’était sans doute pour y prendre une tête de plus. (''Note du Journal des Débats, 1826.'')