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DES ARCHITECTES FRANÇAIS

DES ARCHITECTES FRANÇAIS.

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de Versailles ; de 1748 à 1704,des travaux d’embellissements au château de Grccy, à 8 kilomètres de Dreux, ainsi qu’un hospice pour les vieillards (le château n’existe plus, et l’hospice acté, vers i85o, converti en maison d’habitation) ; des travaux à l’hôtel d’Evreux, devenu le Palais de l’Elysée, à Paris ; un hôtel à Versailles (aujourd’hui l’hôtel des Réservoirs’ ; de 1751 à 1 753, des travaux au château de Compïègne, d’autres aux IJrsulines de Passy et aux Dames de l’Assomption. On lui doit aussi l’hôtel de Luxembourg, rue Saint-Marc, à Paris ; Dhôtel de Sens, rue de Grenelle-Saint-Germain ; l’hôtel Mole, dans la même rue L (Piganiol. — J.-A. Leroy, Dépenses de Madame de Pompadour. — Dens. part.’

L’A S SL’ RANG E Pierre-Cailleteau, dit) obtint, le 4 octobre i7 ?5, une pension de 2,000 livres, en qualité de contrôleur des bâtiments des châteaux de Saint-Germain et de .Monceaux. Il remplaçait, dans cette charge, son frère, qui venait de mourir. {Dens. part.)

LASSUS (J ean-Baptiste-Antoine) naquit à Paris 1. De quelques notes manuscrites que je possède, et qui ont trait aux différents contrôles des châteaux royaux ù cette époque, il semble résulter que ce L’Assurance a eu un frère ; mais ces renseignements, très-vagues, m’avaient laissé dans le doute. Le rédacteur des notes dont il s’agit, lesquelles paraissent avoir été écrites dans la seconde moitié du XVII le siècle, mentionne deux L’Assurance, l’un dit l’Aîné, l’autre dit le Jeune. Selon lui, l’aîné avait eu le contrôle de Marly, en 173s, le jeune celui de Saint-Germain, en 1741, et les contrôles réunis de Saint-Germain et de Monceaux, en 174S. Ces notes n’avaient pas pour moi un caractère d’authenticité suffisant pour me permettre de conclure. Heureusement, et grâce à l’obligeance de M. Jules Guiflrey, il m’arrive, au moment de mettre sous presse, la preuve que L’Assurance jeune a existé. Mes notes n’étaient fautives qu à 1 endroit des dates. (Voir l’article suivant.)