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DICTIONNAIRE

tions Dit. I loXSAIIil

LA GLEl’lERE ^Jacoii.s de) tut reçu membre de l’Académic d’architecture en 1720, et mourut en iyào. Il existe dans les archives du département de l’Yonne un devis dressé par cet architecte pour la construction d’une grande partie des bâtiments du château de Noslou, qui appartenait à l’archevêché de Sens. ’Quantin, Iiiveiit.’

LA GL’ÉPIÈRE Philippe de’, probablement tils du précédent, fut architecte et directeur général des bâtiments du duc de Wurtemberg Charles-Eugène. Il occupait ces fonctions lorsqu’il publia, en 1 ; ?o, cet ouvrage : « Plans, coupes et élévations de dill’érents palais et églises », lyôo. In-fol. En 17Ô ? il était à Stuttgard, où parut sous son nom un « Recueil d’esquisses d’architecture », représentant plusieurs édifices de sa composition, dont quelques-uns furent construits par lui-même. Ces compositions sont exécutées à l’eau forte, et quelques-unes d’entre elles portent la date de 1 7 ?o. On doit aussi à cet architecte l’Hôtel de ville de .Montbéliard, construit par lui xers 177 ? ‘, la décoration intérieure de l’ancienne bibliothèque tions en l’honneur des sauveurs de la patrie ; les matériaux se tussent tires des démolitions des portes et des murs de la ville. Le devis de tous les travaux montait à iSo,ooo fr. Malgré la pénurie de la caisse municipale, on n’éprouva pas le moindre embarras pour trouver cette somme : tous les habitants devaient la remplir à l’aide de dons volontaires, sous peine d’étre notés comme égoïstes ; on les força, en outre, de contribuer de leur propre personne il l’exécution des travaux. Les ouvrages commencèrent et l’affaire allait bien, lorsque l’arrestation des ultra-révolutionnaires refroidit le zèle des patriotes : les dons s’arrêtèrent, les citoyens terrassiers restèrent chez eux ; bienlôt l’hiver, les pluies et les dégels, changèrent le monument en un amas de boue, et le conseil de la commune, qui avait voté la Montagne, décida que de nouveaux travaux seraient enirepris pour remettre les choses dans leur premier état » (De Buzonnière.)

1 « La première chose que l’on me ht voir à mon retour à Mont-