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DES ARCII1TECTES ERANÇAIS. ?


LA EORCE Philippe de’. —V. DE LA l’ORCE
( Philippe’.


LA l’OSSE ;J.-Ch. de). — V. DE LA EOSSE (.1.-Ch.
LA FORCE ({{sc|Philippe de}}). — V. DE LA FORCE
({{sc|Philippe}}).
).


LAEOSSE (M. de). —V. DE LA EOSSE (M.).
LAEOSSE (N. diA. - V. DE LA EOSSE (NA.
LA EGA , inspecteur des bâtiments du roi. fut remplacé
à Marly le i ? mars i ypp, après sa mort, par J.-K. Billaudel.
(tiens. part A



LA GARDE TTE Ci.al de-Ma i hii ;v ) , élève de
LA FOSSE ({{sc|J.-Ch. de}}). — V. DE LA FOSSE ({{sc|J.-Ch.}})



LAFOSSE ({{sc|M. de}}). — V. DE LA FOSSE (M.).



LAFOSSE ({{sc|N. de}}). - V. DE LA FOSSE (N.).



LA FOY, inspecteur des bâtiments du roi, fut remplacé
à Marly le 15 mars 1759, après sa mort, par J.-R. Billaudel.
(''Rens. part''.)



LA GARDETTE ({{sc|Claude-Mathieu}}), élève de
Paris, remporta, en 1791, le grand prix d’architecture sur
Paris, remporta, en 1791, le grand prix d’architecture sur
une « Galerie d’un palais », et partit la même année pour
une « Galerie d’un palais », et partit la même année pour
l’Ecole de Rome. Il publia, en 1 700 : « les Ruines de Pæstum
l’École de Rome. Il publia, en 1799 : « les Ruines de Pæstum
ou de Posidonia, mesurées et dessinées sur les lieux ». tiaris.
ou de Posidonia, mesurées et dessinées sur les lieux ». ''Paris'',
an VII, gr. in-fol.,et, en iNo3 : « Nouvelles règles pour la pratique
an {{rom-maj|VII|7}}, gr. in-fol., et, en 1803 : « Nouvelles règles pour la pratique
du dessin et du lavis de l’architecture ch ile et militaire ».
du dessin et du lavis de l’architecture ch ile et militaire ».
In-So. On ne connaît guère d’édifice élevé par La Gardette
In-8{{o}}. On ne connaît guère d’édifice élevé par La Gardette
que la Sainte-Montagne, d’Orléans .
que la Sainte-Montagne, d’Orléans{{lié}}<ref name="p5">Il n’y avait si petit lieu qui ne voulût avoir sa Montagne.
Orléans ne resta pas en arrière du mouvement général. En 1794, les

Sans-Culottes établirent un concours pour l’érection d’une ''Sainte-Montagne''.
1. <■ 11 n’y avait si petit lieu qui ne voulût avoir sa Montagne
Le plan de La Gardette l’emporta sur ceux de ses concurrents.
Orléans ne resta pas en arrière du mouvement général En 1794, les
Sans-Culottes établirent un concours pour l’érection d’une Siinite-Montapne.
I.c plan de La Gardette l’emporta sur ceux de ses concurrents.
Sa Montagne, qui devait occuper presque toute la surface de la
Sa Montagne, qui devait occuper presque toute la surface de la
place du Martroi, entre la rue Royale et la rue Bannier, eut consisté
place du Martroi, entre la rue Royale et la rue Bannier, {{corr|eut|eût}} consisté
en un cône de terre parsemé accidentellement de rochers, et couvert
en un cône de terre parsemé accidentellement de rochers, et couvert
de gazon et d’arbustes symboliques. Sur la cime un piédestal constitutionnel
de gazon et d’arbustes symboliques. Sur la cime un piédestal constitutionnel
eut supporté la statue de la Liberté, en face de l’autel de la
{{corr|eut|eût}} supporté la statue de la Liberté, en face de l’autel de la
Patrie ; on y serait monté par des chemins sinueux, bordes d inscrip-
Patrie ; on y serait monté par des chemins sinueux, bordés {{tiret|d’inscrip|tions}}</ref>.