« Page:Maison rustique du XIXe siècle, éd. Bixio, 1844, I.djvu/401 » : différence entre les versions
→Non corrigée : Légende |
Aucun résumé des modifications |
||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 4 : | Ligne 4 : | ||
{{p|15 : 3 : 1|}}{{T5|§ {{rom-maj|i}}{{e|er}}. — Espèces et variétés<ref>Ce paragraphe est en grande partie extrait d’un Mémoire, encore inédit, sur les orges, par M. {{sc|Vilmorin}} |
{{p|15 : 3 : 1|}}{{T5|§ {{rom-maj|i}}{{e|er}}. — Espèces et variétés<ref>Ce paragraphe est en grande partie extrait d’un Mémoire, encore inédit, sur les orges, par M. {{sc|Vilmorin}} |
||
{{FAD|'''[[Auteur : Oscar Leclerc-Thoüin|O. L. T.]]}}</ref> |
{{FAD|'''[[Auteur : Oscar Leclerc-Thoüin|O. L. T.]]}}</ref>}} |
||
Dans le froment, les épillets, solitaires sur chaque dent de l’axe, sont alternés sur deux côtés opposés. Dans l’orge, ils sont ternés sur chaque dent ; les deux latéraux sont souvent mâles et pédicellés ; celui du milieu, sessile et hermaphrodite. Cependant, ce dernier caractère. très-ordinaire dans les espèces sauvages, l’est beaucoup moins pour les espèces cultivées. Il en est dont toutes les fleurs sont même constamment hermaphrodites. — Les glumes sont à deux valves, qui forment une sorte d’involucre à six feuilles ; — chaque glume renferme une seule balle a deux valves. |
Dans le froment, les épillets, solitaires sur chaque dent de l’axe, sont alternés sur deux côtés opposés. Dans l’orge, ils sont ternés sur chaque dent ; les deux latéraux sont souvent mâles et pédicellés ; celui du milieu, sessile et hermaphrodite. Cependant, ce dernier caractère. très-ordinaire dans les espèces sauvages, l’est beaucoup moins pour les espèces cultivées. Il en est dont toutes les fleurs sont même constamment hermaphrodites. — Les glumes sont à deux valves, qui forment une sorte d’involucre à six feuilles ; — chaque glume renferme une seule balle a deux valves. |