« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Construction -- Voûtes » : différence entre les versions
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Dès le XI<sup>e</sup> siècle, on avait entouré déjà les sanctuaires des églises de
collatéraux avec ou sans chapelles rayonnantes (voy.
causé aux constructeurs plus d'un embarras. L'antiquité romaine ne
laissait
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plan; en B l'archivolte et l'arrachement des voûtes du bas-côté. Les
églises importantes de cette époque et de cette province possèdent toutes
une galerie de premier étage voûtée (voy.
cathédrale de Langres, et ce n'est pas sans motifs (voy. le plan B, fig. 41.).
En effet, le formeret C, étant plus large à la base que l'archivolte D,
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masse pareille sur un point d'appui aussi grêle. On voit la colonne A, de
0,50 c. de diamètre, couronnée par un chapiteau extrêmement évasé
(voy.
trois colonnettes monolithes portant les retombées des voûtes supérieures.
Le sommier est assez empatté pour recevoir la pile du triforium et le mur
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[[Image:Plans.claveaux.divers.png|center]]
<div class=prose>
Mais nous sommes
paraître long dans notre exposé du système
des voûtes gothiques, de procéder comme
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principe admis, sont suivis avec une rigueur inflexible, jusqu'à produire
des résultats en apparence très-étranges, outrés, éloignés du point de
départ. Pour celui qui ne perd pas
constructeurs, les transitions sont non-seulement perceptibles, mais
déduites d'après le raisonnement; la pente est irrésistible: elles paraissent
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