« Page:Baudelaire - Petits poèmes en prose 1868.djvu/150 » : différence entre les versions

Version du 15 décembre 2008 à 18:02 modifier Zyephyrus (discussion \| contributions) Bureaucrates, Administrateurs d’interface, Administrateurs 136 031 modifications →‎Page validée ← Modification précédente		Version du 15 août 2009 à 22:29 modifier annuler ThomasBot (discussion \| contributions) Robots 739 460 modifications m maintenance Modification suivante →
Contenu (par transclusion) :		Contenu (par transclusion) :
Ligne 14 :		Ligne 14 :
	Il m’avait semblé seulement que je sentais, confiné au fond de mon intellect, le germe obscur d’une idée supérieure à toutes les formules de bonne femme dont j’avais récemment parcouru le dictionnaire. Mais ce n’était que l’idée d’une idée, quelque chose d’infiniment vague.		Il m’avait semblé seulement que je sentais, confiné au fond de mon intellect, le germe obscur d’une idée supérieure à toutes les formules de bonne femme dont j’avais récemment parcouru le dictionnaire. Mais ce n’était que l’idée d’une idée, quelque chose d’infiniment vague.

	Et je sortis avec une grande soif. Car le goût {{tiret\|pas\|~~passionné~~}}		Et je sortis avec une grande soif. Car le goût {{tiret\|pas\|sionné}}