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populat. Comptée sur les états de l’élection, dressés vers 1697, pour 2,563 feux, ce qui paraît ne devoir porter la population, guère au-delà de 10 à 12 mille âmes. Elle a augmenté
depuis cette époque comme il suit :
Années. | Individus. | Feux. | Maisons. |
---|---|---|---|
1789 | 16,000 | 4,156 | 2,560 |
1791 | 16,150 | 4,214 | 2,600 |
1796 | 16,725 | 4,365 | 2,700 |
1801 | 17,220 | 4,707 | 3,000 |
1806 | 18,040 | 4,780 | 3,250 |
1811 | 18,500 | 4,830 | 3,300 |
1816 | 18,540 | 4,845 | 3,550 |
1821 | 18,880 | 4,927 | 3,777 |
1826 | 19,477 | 5,083 | 3,800 |
1831 | 19,792 | 5,160 | 3,850 |
La proportion entre les deux sexes varie de 17 à 18 individus du sexe masculin, contre 20 du sexe féminin.
Sur le nombre ci-dessus d’individus, 1/45.e, ou à peu près 900, sont repartis sur le territoire rural ou dans la campagne, distribués dans 55 à 60 métairies, 190 à 200 bordages, et 225 à 250 maisons, dont environ 50 bourgeoises ou d’agrément, et ce, relativement à la population actuelle de 19,792 individus.
Reste, par conséquent, pour la partie agglomérée ou la ville, une population de 18,892 individus, pour la partie communale seulement. Si on y ajoute la rue S.-Pavin et celles adjacentes, dépendantes de la commune du même nom ; et la partie de celle de Ste-Croix, attenante également à la ville et formant tout le quartier neuf dit de Ste-Croix, de Champ-Garrau et de Coudoie ou avenue de Paris, et tout le côté gauche de la rue du Grand-Cimetière et le quartier neuf adjacent ; la population agglomérée se trouvera être de 20,300 à 20,500 individus, repartis en 5,350 feux environ. En ajoutant encore à ce nombre le bourg de Pontlieue, qui forme comme un faubourg de la ville, on aura un total d’environ 21,000 ames, repartis en 5,500 feux.
Mouv. décenn.
Années | Mariages | Naissances | Décès |
---|---|---|---|
1789 | 111 | 344 | 715 |
1792 à 1801 | 980 | 4,573 | 3,564 |
1802 à 1811 | 1,282 | 6,510 | 6,225 |
1812 à 1821 | 1,678 | 6,506 | 6,377 |
1822 à 1831 | 1,626 | 4,735 | 4,988 |
Totaux, de 40 années | 5,677 | 22,668 | 21,869 |
Les naissances et les décès à l’hôpital-général, sont, dans ces nombres, pour 22 à 24/43.es.
Depuis 40 ans (de 1792 à 1831 compris), les résultats sont, année commune : mariages, 139 ; naissances, 558 ; décès, 529. En défalcant les enfans naturels, qui sont dans la proportion de près de 1/8.e des naissances, le produit de