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INSCRIT.


il viendra finalement

(3)

L’aire du quadrilatère dont il s’agit étant la somme des aires de deux triangles, dont l’un a pour ses trois côtés , et l’autre pour les siens en représentant ce quadrilatère par on aura

c’est-à-dire, en substituant,

(4)

Si, dans cette expression, on suppose elle devient

qui est précisément celle de l’aire d’un triangle, en fonction de ses trois côtés[1].

  1. Sans connaître encore l’expression de l’aire d’un triangle en fonction de ses trois côtés, on peut prononcer, à l’avance, qu’elle en est une fonction symétrique ; attendu qu’avec les trois mêmes cotés donnés, on ne saurait former qu’un triangle donné. Mais, bien qu’avec les quatre mêmes côtés