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les lois — l’œil vif, l’oreille à l’affût, prêts à |
les lois — l’œil vif, l’oreille à l’affût, prêts à |
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disparaître dans le fourré à la première alerte. |
disparaître dans le fourré à la première alerte. |
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Ils devaient brouiller leurs pistes pour ne pas |
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être suivis. |
être suivis. |
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Jean se sentait à l’aise dans le bois. Il y |
Jean se sentait à l’aise dans le bois. Il y |
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était chez lui. Rien ne l’arrêtait, ni les épais |
était chez lui. Rien ne l’arrêtait, ni les épais |
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fourrés, ni les terres spongieuses, rien. |
fourrés, ni les terres spongieuses, rien. Il s’y |
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débrouillait mieux que son père ne l’avait fait |
débrouillait mieux que son père ne l’avait fait |
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à son âge. Pour Georges, aux approches de la |
à son âge. Pour Georges, aux approches de la |
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cinquantaine, son âge s’abolissait dès qu’il |
cinquantaine, son âge s’abolissait dès qu’il |
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mettait le pieds hors de la route. Les pires |
mettait le {{corr|pieds|pied}} hors de la route. Les pires |
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chaleurs ne l’empêchaient pas de courir la |
chaleurs ne l’empêchaient pas de courir la |
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forêt. Au contraire, quand il marchait, la chaleur |
forêt. Au contraire, quand il marchait, la chaleur |
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s’aventuraient en pleine brousse, dans |
s’aventuraient en pleine brousse, dans |
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des sous-bois où personne n’était entré depuis |
des sous-bois où personne n’était entré depuis |
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l’époque des Indiens. |
l’époque des Indiens. Ils jetaient la ligne dans |
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des bouches d’ombre atteintes au prix de mille |
des bouches d’ombre atteintes au prix de mille |
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contorsions et périls. À l’approche d’un |
contorsions et périls. À l’approche d’un |