« Page:Doyle - La nouvelle chronique de Sherlock Holmes, trad Labat, 1929.djvu/78 » : différence entre les versions

 
 
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— Comment se fait-il, dit Holmes, que vous, miss{{lié}}Burnet, vous, une Anglaise, on vous trouve dans une pareille affaire d’assassinat ?
— Comment se fait-il, dit Holmes, que vous, miss{{lié}}Burnet, vous, une Anglaise, on vous trouve dans une pareille affaire d’assassinat ?


— C’est qu’il n’y a pas au monde d’autre moyen que l’assassinat pour punir justement cet homme. Qu’importe à vos lois que, pendant des années, il ait noyé San Pedro sous des torrents de sang et chargé de trésors volés tout un navire ? utant vous parler de crimes commis dans une autre planète ! Nous, du moins, nous savons. Nous avons appris la vérité dans la souffrance et les larmes. Pour nous, l’enfer n’a pas de démon comparable à Jean Murillo, et nous ne saurions vivre en paix tant que ses victimes crieront vengeance.
— C’est qu’il n’y a pas au monde d’autre moyen que l’assassinat pour punir justement cet homme. Qu’importe à vos lois que, pendant des années, il ait noyé San Pedro sous des torrents de sang et chargé de trésors volés tout un navire ? Autant vous parler de crimes commis dans une autre planète ! Nous, du moins, nous savons. Nous avons appris la vérité dans la souffrance et les larmes. Pour nous, l’enfer n’a pas de démon comparable à Jean Murillo, et nous ne saurions vivre en paix tant que ses victimes crieront vengeance.


— Vous avez certainement raison, dit Holmes, j’ai ouï dire que Murillo était un homme atroce. Mais en quoi vous a-t-il donné des griefs personnels ?
— Vous avez certainement raison, dit Holmes, j’ai ouï dire que Murillo était un homme atroce. Mais en quoi vous a-t-il donné des griefs personnels ?