« Page:Maison rustique du XIXe siècle, éd. Bixio, 1844, I.djvu/120 » : différence entre les versions

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Dans ''une partie de l’Auvergne'', on fait parquer pêle-mêle les chevaux, les ânes, les bœufs, les cochons, les moutons, et on se trouve fort bien de cet usage qu’on pourrait imiter dans beaucoup d’autres localités, principalement celles où les champs sont clos.{{FAD|'''[[Auteur: Charles-François Bailly de Merlieux|{{abréviation|C. B. de M.|Charles Bailly de Merlieux}}]] '''|marge=2.5em}}
Dans ''une partie de l’Auvergne'', on fait parquer pêle-mêle les chevaux, les ânes, les bœufs, les cochons, les moutons, et on se trouve fort bien de cet usage qu’on pourrait imiter dans beaucoup d’autres localités, principalement celles où les champs sont clos.{{FAD|'''[[Auteur: Charles-François Bailly de Merlieux|{{abréviation|C. B. de M.|Charles Bailly de Merlieux}}]] '''|marge=2.5em}}


{{p|4:3:3:4}}{{T6|§ {{rom-maj|v}}. — Excrémens des oiseaux.|m=0.5em}}
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''Fiente des Pigeons''. — Cette sorte de fumier, exempt presque entièrement de paille, offre la déjection presque pure ou mêlée de débris de plumes, très-riches eux-mêmes en substance azotée, dans l’état de division le plus convenable. Conservé et desséché d’ailleurs à l’abri, cet engrais est sans contredit le plus riche parmi ceux qu’on nomme ''fumiers'' ; mais il a beaucoup moins d’action que les engrais pulvérulens obtenus des débris d’animaux.
''Fiente des Pigeons''. — Cette sorte de fumier, exempt presque entièrement de paille, offre la déjection presque pure ou mêlée de débris de plumes, très-riches eux-mêmes en substance azotée, dans l’état de division le plus convenable. Conservé et desséché d’ailleurs à l’abri, cet engrais est sans contredit le plus riche parmi ceux qu’on nomme ''fumiers'' ; mais il a beaucoup moins d’action que les engrais pulvérulens obtenus des débris d’animaux.