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langage des journaux conservateurs prenait un ton d’insolence
langage des journaux conservateurs prenait un ton d’insolence
extrême. L’accusation de communisme devenait
extrême. L’accusation de communisme devenait
l’occasion et le prétexte des calomnies les plus odieuses<ref>« Les préventions que l’administration, du 24 février au 11 mai, a fait naître dans l’esprit sont si profondes et si enracinées que l’opinion a accueilli avec une sorte d’avidité furieuse toutes les insinuations qui devaient l’égarer, » dit le ''Rapport de la commission chargée de l'examen des comptes du gouvernement provisoire. (Moniteur'' du 26 avril 1849.)</ref>.
l’occasion et le prétexte des calomnies les plus odieuses<ref>Il serait fastidieux et aujourd’hui heureusement superflu de répéter
On représenta le Luxembourg comme un lieu de délices,
où les plaisirs les plus raffinés et les festins les plus dispendieux
rassemblaient chaque jour les sybarites du prolétariat<ref>Il serait fastidieux et aujourd’hui heureusement superflu de répéter
une à une ces ignobles calomnies. L’administration du Palais-National
une à une ces ignobles calomnies. L’administration du Palais-National
et du Luxembourg a prouvé, pièces en main, que la dépense de table
et du Luxembourg a prouvé, pièces en main, que la dépense de table
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provisoire, ne touchèrent pas d’appointements personnels. Les
provisoire, ne touchèrent pas d’appointements personnels. Les
délégués du Luxembourg, pendant toute la durée des conférences, ne
délégués du Luxembourg, pendant toute la durée des conférences, ne
touchèrent pas non plus une obole.</ref>.
touchèrent pas non plus une obole.</ref>. Sous cette rubrique : ''Nouvelles de la Cour'', le ''Constitutionnel''
On représenta le Luxembourg comme un lieu de délices,
où les plaisirs les plus raffinés et les festins les plus dispendieux
rassemblaient chaque jour les sybarites du prolétariat<ref>
3</ref>. Sous cette rubrique : ''Nouvelles de la Cour'', le ''Constitutionnel''
et l’''Assemblée nationale'' racontaient des orgies
et l’''Assemblée nationale'' racontaient des orgies
à Trianon, qui n’avaient jamais existé. Selon ces chroniques
à Trianon, qui n’avaient jamais existé. Selon ces chroniques