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sant, ce beau, au service duquel l’art doit se trouver, était, et est encore représenté surtout par la femme jeune et belle, pour la plupart à demi couverte ; le beau, c’est d’avoir des relations charnelles avec elle.
sant, ce beau, au service duquel l’art doit se trouver, était, et est encore représenté surtout par la femme jeune et belle, pour la plupart à demi couverte ; le beau, c’est d’avoir des relations charnelles avec elle.


C’était la façon de penser non seulement de tous les confrères en art de Maupassant, peintres, sculpteurs, romanciers et poètes, mais même des philosophes qui ont été les maîtres des jeunes générations. Ainsi le célèbre Renan, blâmant le christianisme de n’avoir pas compris la beauté de la femme, dit tout simplement dans son Marc-Aurèle
C’était la façon de penser non seulement de tous les confrères ''en art'' de Maupassant, peintres, sculpteurs, romanciers et poètes, mais même des philosophes qui ont été les maîtres des jeunes générations. Ainsi le célèbre Renan, blâmant le christianisme de n’avoir pas compris la beauté de la femme, dit tout simplement dans son ''Marc-Aurèle''
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« Le défaut du christianisme apparaît bien ici : il est trop uniquement moral ; la beauté chez lui est tout à fait sacriliée. Or, aux yeux d’une philosophie complète, la beauté, loin d’être un avantage superficiel, un dan-
« Le défaut du christianisme apparaît bien ici : il est trop uniquement moral ; la beauté chez lui est tout à fait sacrifiée. Or, aux yeux d’une philosophie complète, la beauté, loin d’être un avantage superficiel, un dan-