« Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 10.djvu/244 » : différence entre les versions

Sophanne2 (discussion | contributions)
→‎Page non corrigée : Page créée avec « l404. -- DE MADAME DE COULANGES A MADAME DE SÉVIGNÉ. A Paris, le 4è février. ON voit bien que vous avez oublié le climat de Paris, mon amie, puisque vous croyez… »
 
Sophanne2 (discussion | contributions)
Aucun résumé des modifications
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 20 : Ligne 20 :
fatigantes occupations ; bien des années, et une assez
fatigantes occupations ; bien des années, et une assez
mauvaise sante ; tout cela me fait demeurer au coin de
mauvaise sante ; tout cela me fait demeurer au coin de
mon feu avec un plaisir, pour moi, que je préfère à d`au—
mon feu avec un plaisir, pour moi, que je préfère à d`autres qui paroissent plus sensibles ; mais une retraite que
tres qui paroissent plus sensibles ; mais une retraite que
j'admire, c`est celle de Mlle de la Trousse ; Dieu lui fait
j'admire, c`est celle de Mlle de la Trousse ; Dieu lui fait
de grandes grâces, et son état est maintenant bien digne
de grandes grâces, et son état est maintenant bien digne