« Page:Gilbert-Lecomte - Mörike ou la Voix de l’amour, paru dans Comœdia, 14 novembre 1942.djvu/14 » : différence entre les versions
→Page non corrigée : Page créée avec « <nowiki /> Avec le cycle des poèmes consacrés à Peregrina, ''{{lang|de|An die Geliebte}}'' (À la bien-aimée) constitue le témoignage suprême du lyrisme de l’am… » |
|||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page corrigée | |
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 5 : | Ligne 5 : | ||
Avec le cycle des poèmes consacrés à Peregrina, ''{{lang|de|An die Geliebte}}'' (À la bien-aimée) constitue le témoignage suprême du lyrisme de l’amour chez Mörike. |
Avec le cycle des poèmes consacrés à Peregrina, ''{{lang|de|An die Geliebte}}'' (À la bien-aimée) constitue le témoignage suprême du lyrisme de l’amour chez Mörike. |
||
Mörike n’a écrit que ces poèmes d’amour. Mais peu importe le nombre, eux seuls comptent pour nous. Certes, il est l’auteur d’un roman : ''Le Voyage de Mozart à Prague'', et surtout de nombreux lieds que toute l’Allemagne chante et dont quelques-uns ont été mis en musique par Schumann. Mais là n’est pas pour nous son titre à la gloire. |
Mörike n’a écrit que ces poèmes d’amour. Mais peu importe le nombre, eux seuls comptent pour nous. Certes, il est l’auteur d’un roman : ''Le Voyage de Mozart à Prague'', et surtout de nombreux {{lang|de|lieds}} que toute l’Allemagne chante et dont quelques-uns ont été mis en musique par Schumann. Mais là n’est pas pour nous son titre à la gloire. |