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faut savoir à qui l’on aura affaire avant d’édifier |
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ses bâtiments ! Car il peut arriver |
ses bâtiments ! Car il peut arriver |
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un samson qui d’un petit coup d’épaule va |
un {{corr|samson|Samson}} qui d’un petit coup d’épaule va |
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tout envoyer au pêle-mêle des débris ! Et |
tout envoyer au pêle-mêle des débris ! Et |
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v’lan de toute ta petite personne ! Et v’lan |
v’lan de toute ta petite personne ! Et v’lan |
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de tous tes petits châteaux ! Et vl’an encore |
de tous tes petits châteaux ! Et vl’an encore |
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de toutes tes petites conquêtes ! Regarde-moi, |
de toutes tes petites conquêtes ! Regarde-moi, |
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je suis ton samson ! |
je suis ton {{corr|samson|Samson}} ! |
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— Vous êtes une brute ! rugit le reporter |
— Vous êtes une brute ! rugit le reporter |
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toujours, le reporter souriait. Il souriait |
toujours, le reporter souriait. Il souriait |
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parce qu’il se croyait vivre dans une sorte |
parce qu’il se croyait vivre dans une sorte |
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de paradis, après l’enfer qu’il avait traversé. |
de {{corr|paradis|Paradis}}, après l’enfer qu’il avait traversé. |
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Il reposait doucement sur une couche molle, |
Il reposait doucement sur une couche molle, |
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d’ivresse ! |
d’ivresse ! |
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Un souffle plus doux qu’un zéphir printanier |
Un souffle plus doux qu’un {{sic2|zéphir|Archaïsme, orthographe d'avant 1835 voir zéphyr}} printanier |
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caressait son front moite. |
caressait son front moite. |
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