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de gravures. Prix : 12 francs.
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cette auberge autour de laquelle {{M.
donne rendez-vous à des personnages
comme le comte de Puisaye, le chevalier
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et, en la mettant en relief, et avec elle, les
centaines d’autres dont elle est le type,
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de la chouannerie.
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C’est le cadre et c’est l’image de cette
guerre dont {{M.
et c’est souvent dans les environs de
cette ''Mirlitantouille'', dans cette lande qui
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Ces épisodes se suivent de 1794 à 1799.
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qui correspondent à peu près à trois âges
de la chouannerie bretonne. Le premier de
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tiennent en une étroite correspondance.
« Il faut se résigner à l’évidence, dit
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royalistes sont maîtres de la Bretagne,
d’autant plus redoutables qu’on ne peut
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De part et d’autre, en effet, la guerre se
faisait souvent alors sous des déguisements.
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des faux chouans des précisions qui paraissent
décisives. « L’initiative en vient
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telles que celles de Le Grix,
Duval, Saint-Rigent, Tinténiac, la noble
figure de Georges Cadoudal, {{M.
jette quelque clarté sur l’affaire de Quiberon.
Par quelle machination ou par
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de front ?
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chouannerie, ceux de ses héros qui y survécurent ;
il aurait voulu voir aussi la
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on vivait. »
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ce livre où l’érudition est aussi aimable
que profonde, où des mémoires et des
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