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Que ''Marine'' ait paru à Gustave Kahn et à Félix Fénéon être une |
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pièce en prose, la chose est fort possible. Mais qu’ils se soient |
pièce en prose, la chose est fort possible. Mais qu’ils se soient |
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entendus pour « mettre en relief » les « quelques éléments rythmiques » que contenait ''Mouvement'' (ce qui est un agréable euphémisme pour dire qu’ils auraient donné la disposition « vers » à ce qui avait la disposition « prose » |
entendus pour « mettre en relief » les « quelques éléments rythmiques » que contenait ''Mouvement'' (ce qui est un agréable euphémisme pour dire qu’ils auraient donné la disposition « vers » à ce qui avait la disposition « prose »), c’est leur faire injure que de les supposer capables d’un tripatouillage contre lequel proteste tout leur passé. J’ai vu, quant à moi, Félix Fénéon à l’œuvre, quand nous avons établi ensemble l’édition des ''Derniers Vers'' de Laforgue ; on ne peut imaginer avec quel scrupule méticuleux il entendait se conformer aux moindres indications des manuscrits ; il suffit d’ailleurs |
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de jeter un coup d’œil sur cette édition ! Quant à Gustave Kahn, |
de jeter un coup d’œil sur cette édition ! Quant à Gustave Kahn, |
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il s’est toujours montré un non moins honnête et non moins scrupuleux |
il s’est toujours montré un non moins honnête et non moins scrupuleux |
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