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 soie, et dont quelques-unes peuvent se croiser librement
 avec l’espèce commune, ainsi qu’on s’en est récemment assuré
-en France. Le capitaine Hutton<ref>''{{lang|la|Transact entom. Soc.}}'', ({{3e}} série), vol. {{rom-maj|III|3}}, p. 143-173 et p. 295-331.</ref> constate qu’on a, dans le
+en France. Le capitaine Hutton<ref>''{{lang|la|Transact entom. Soc.}}'', ({{3e}} série), vol. {{rom-maj|III|3}}, p. 143–173 et p. 295–331.</ref> constate qu’on a, dans le
 monde entier, domestiqué au moins six espèces de vers à soie ;
 et il croit que ceux qu’on élève en Europe, appartiennent à
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 Le ver à soie commun (''Bombyx mori''), fut apporté à Constantinople
-au {{rom-maj|vi|6}}{{e}} siècle, de là introduit en Italie, puis en 1494
+au {{s|vi}}, de là introduit en Italie, puis en 1494
 en France<ref>Godron, ''O. C.'', t. {{rom-maj|I|1}}, p. 460. L’antiquité du ver à soie est donnée sur l’autorité de Stanislas Julien.</ref>. Tout a favorisé la variation de cet insecte. Sa
 domestication en Chine est supposée devoir remonter jusqu’à