« Page:Doyle - La Grande Ombre.djvu/141 » : différence entre les versions
Nouvelle page : <noinclude>{{PageQuality|1|}}<div class="pagetext"> </noinclude>rouges, je criai de toute la force de mes poumons : — Bounder ! Bounder ! Cela produisit son effet, car l’anim... |
|||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page corrigée | |
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 5 : | Ligne 5 : | ||
Cela produisit son effet, car l’animal me dépassa en grondant, et partit par le sentier sur les traces de Bonaventure de Lapp. |
Cela produisit son effet, car l’animal me dépassa en grondant, et partit par le sentier sur les traces de Bonaventure de Lapp. |
||
Celui-ci se retourna à tout ce bruit et parut comprendre au premier coup d’œil de quoi il s’agissait |
Celui-ci se retourna à tout ce bruit et parut comprendre au premier coup d’œil de quoi il s’agissait, mais il continua à marcher sans plus se presser. |
||
J’étais terrifié pour lui, car le chien ne l’avait jamais vu. |
J’étais terrifié pour lui, car le chien ne l’avait jamais vu. |