« Page:Doyle - La Grande Ombre.djvu/125 » : différence entre les versions

Nouvelle page : <noinclude>{{PageQuality|1|}}<div class="pagetext"> </noinclude><br/> — Non. Il serait bon qu’on remit un Parlement à Édimbourg, dit mon père, mais les moutons me donnent t...
 
Faager (discussion | contributions)
État de la page (Qualité des pages)État de la page (Qualité des pages)
-
Page non corrigée
+
Page corrigée
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
<br/>
<br/>


— Non. Il serait bon qu’on remit un Parlement à Édimbourg, dit mon père, mais les moutons me donnent tant d’occupation que je n’ai guère le loisir de penser à ces choses-là.
— Non. Il serait bon qu’on remit un Parlement à Edimbourg, dit mon père, mais les moutons me donnent tant d’occupation que je n’ai guère le loisir de penser à ces choses-là.


— C’est aux beaux jeunes gens comme vous que revient le devoir d’y penser, dit de Lapp. Quand un pays est opprimé, ce sont ses jeunes gens qui doivent le venger.
— C’est aux beaux jeunes gens comme vous que revient le devoir d’y penser, dit de Lapp.
Quand un pays est opprimé, ce sont ses jeunes gens qui doivent le venger.


— Oui, les Anglais en veulent trop pour eux, quelquefois, dit Jim.
— Oui, les Anglais en veulent trop pour eux, quelquefois, dit Jim.


— Eh bien, s’il y a beaucoup de gens qui partagent cette manière de voir, pourquoi n’en formerions-nous pas des bataillons, afin de marcher sur Londres s’écria de Lapp.
— Eh bien, s’il y a beaucoup de gens qui partagent cette manière de voir, pourquoi n’en formerions-nous pas des bataillons, afin de marcher sur Londres ? s’écria de Lapp.


— Cela ferait une belle partie de campagne, dis-je en riant, mais qui nous conduirait ?
— Cela ferait une belle partie de campagne, dis-je en riant, mais qui nous conduirait ?
Ligne 15 : Ligne 17 :
— Si vous vouliez bien me faire cet honneur, s’écria-t-il.
— Si vous vouliez bien me faire cet honneur, s’écria-t-il.


Puis nous voyant tous rire, il se mit a rire aussi, mais je suis convaincu qu’il n’avait pas voulu plaisanter le moins du monde.
Puis nous voyant tous rire, il se mit à rire aussi, mais je suis convaincu qu’il n’avait pas voulu plaisanter le moins du monde.